Ronchamp | |
Informations | |
Pays | France |
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Région | Haute-Saône |
Cours d'eau | Rahin |
Altitude | 353 mètre, 320 mètre, 790 mètre |
Superficie | 23,54 km² |
Population | 2 746 hab. () |
Densité | 116,65 hab./km2 |
Gentilé | Ronchampois(e) |
Code postal | 70250 |
Préfixe téléphonique | |
Fuseau | UTC+01:00, UTC+02:00 |
Localisation | |
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Site officiel | |
Site touristique | |
Ronchamp est une ville du département de Haute-Saône en Franche-Comté, altitude 450 à 1 148 m. Paris à 450 km, Belfort à 20 km, Besançon à 90 km, Luxeuil-les-Bains à 30 km, Montbéliard à 40 km. Accès par RN19 + Gare SNCF, ligne Paris-Bâle + liaison par cars. Ancienne commune minière de charbon dont les terrils recouverts de végétations et le patrimoine industriel subsistent tout autour de la ville - Connu pour sa chapelle inscrite sur la liste du patrimoine mondial et son passé minier décrit dans un musée. Ronchamp possède le label Station Verte
Comprendre
modifierOffice de tourisme
modifier- 1 Office de tourisme Rahin et Chérimont 25 Rue le Corbusier, +33 3 84 635082
Géographie
modifierRonchamp est située au nord-est de la France. D'une superficie de 2 354 hectares dont 1 648 de forêts, la commune s'adosse aux contreforts des Vosges saônoises, au nord, pour s'ouvrir sur une plaine, à l'ouest. Ronchamp est localisée à 20 kilomètres de Belfort, à 30 kilomètres de Montbéliard et à 45 kilomètres de Vesoul, préfecture de la Haute-Saône. Ronchamp est arrosée par le Rahin.
Histoire
modifierMoyen Âge
modifierEn 1285, Milon de Ronchamp fait partie des invités du comte de Chiny, lors des festivités qui durèrent presque une semaine et pendant lesquelles eurent lieu joutes et tournoi, entre Montmédy et Chauvency-le-Château. Le seigneur de Ronchamp se trouve en compagnie des Faucogney, Annegray, Saint-Rémy, Oiselay et Moncley, avec d'autres nobles bourguignons. Jacques Bretel, qui raconte ces journées, le cite dans son poème, Le Tournoi de Chauvency.
Mines
modifierDes mines de houille ont été exploitées à Ronchamp de 1744 à 1958. L'exploitation démarre dans des galeries à flanc de coteau avant que ne soit creusé le puits Saint-Louis en 1810, sur la commune voisine de Champagney. Entre 1845 et 1895, les principaux puits d'extraction de la commune de Ronchamp sont les puits Saint-Charles et Saint-Joseph.
Les couches de charbon s'enfonçant de plus en plus, les puits se succèdent et sont de plus en plus profonds vers le sud jusqu'à ce que la compagnie finisse par creuser deux fois de suite le puits le plus profond de France dans la commune voisine de Magny-Danigon : le puits du Magny (694 mètres) en 1878 et le puits Arthur-de-Buyer (1 010 mètres) en 1900. Le puits le plus profond de la commune de Ronchamp est le puits du Chanois (588 mètres) ; mis en service en 1895, c'est le principal puits d'extraction de la commune au XXe siècle. Un autre puits notable est le puits Sainte-Marie qui n'a quasiment pas extrait de charbon mais a servi d'aérage de 1869 à 1896 puis de 1924 à 1958. Il est connu pour son chevalement en béton construit lors de sa rénovation dans les années 1920.
Les houillères de Ronchamp sont exploitées pendant plus de deux siècles et leur exploitation marque profondément le paysage avec ses terrils, cités minières et puits de mine, mais aussi l'économie et la population locale (immigration polonaise et traditions minières notamment). Une forte camaraderie et une conscience de classe se développent, notamment avec l'arrivée des Fressais, qui favorise plusieurs grèves et mouvements sociaux. L'une d'entre elles, survenue illégalement en janvier 1857, cause le renvoi de certains ouvriers. La compagnie veille d'ailleurs à étouffer tous les mouvements de protestation dans le bassin minier, notamment par les renvois des « meneurs », et favorise les réclamations individuelles. À l'inverse, le dialogue s'ouvre entre les employés et les administrateurs en 1890 lorsque les mineurs peuvent élire leurs délégués, chargés de défendre les droits ouvriers et de surveiller la sécurité du travail. Sur le plan culturel, les houillères apportent des associations de musique, danse, théâtre, art, religion ainsi que des clubs sportifs (notamment l'étoile sportive de Ronchamp). Les mines possèdent également une harmonie et favorisent le commerce de proximité. Plus tard, un musée de la mine et deux associations sont créés à Ronchamp pour préserver la mémoire de ce passé minier ; plusieurs sites sont réaménagés pour devenir visitables.
- Le puits Saint-Joseph dans les années 1880.
- Le puits du Chanois dans les années 1900.
- Le puits Sainte-Marie dans les années 1930.
- Le puits de l'Etançon dans les années 1950.
- La centrale électrique dans les années 1930.
Seconde guerre mondiale
modifierSituée depuis 1940 dans la Zone occupée interdite au retour des réfugiés, Ronchamp fut libérée d'une occupation douloureuse le par les troupes de la première armée, après de violents combats. Les unités engagées comprenaient le Bataillon d'infanterie de marine du Pacifique, deux bataillons de marche (le 21e et le 24e) et un régiment d'artillerie de la 4e brigade de la première division française libre. Le premier bataillon de Zouaves et le 1er bataillon de choc parachutiste furent également impliqués, notamment dans les combats de la colline de Bourlémont. Cette dernière servait, en septembre 1944, d’observatoire d'artillerie à l'armée allemande et les engagements y furent particulièrement féroces ; la chapelle érigée à l'époque fut entièrement détruite par les bombardements. L’âpreté des combats dans le secteur de Ronchamp/Champagney fut telle que Champagney, la commune voisine, distante de quelques kilomètres seulement, ne fut libérée que le , soit plus d'un mois et demi après Ronchamp. Il est à noter que la commune de Ronchamp s'est vue attribuer la Croix de guerre 1939-1945.
Aller
modifierCirculer
modifierLa circulation est généralement dense sur les axes principaux (D619 et D4) mais reste très fluide sur les autres routes de la commune, peu fréquentées. Les parkings sont en nombre suffisant et sont gratuits. La route menant à la chapelle (D264) est très étroite et sinueuse par endroit.
Pour fluidifier le trafic et éviter de saturer le parking de la chapelle qui est le plus sollicité, la communauté de communes a mis en place une navette estivale qui possède plusieurs arrêts : la gare TER de Ronchamp, la place de l'église, la place du marché, la chapelle de Ronchamp, la plage des ballastières, le camping des ballastières, le centre de Champagney, le bassin de Champagney, un point de vue sur la chapelle, Plancher-les-Mines et la Planche des Belles Filles.
La circulation à vélo est possible partout et une véloroute est en cours d'aménagement.
Voir
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(2) : pyramide de la paix ;
(3) : abris du pèlerin ;
(4) : maison du chapelain ;
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(7) : monastère Sainte-Claire ;
(8) : porterie (accueil, salle d’exposition).
Monuments
modifier- 1 Chapelle Notre-Dame-du-Haut , +33 3 84 20 65 13 4 à 8 €. – conçue en 1955 par Le Corbusier et classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2016, c'est une visite incontournable dans la Région.
- 2 Monastère Sainte-Claire inclus dans la visite de la chapelle. – situé en contrebas de la chapelle, construit en 2011 par l'architecte Renzo Piano, né en 1937.
- 3 Église Notre-Dame-du-Bas gratuit.
- 4 École en bois – classée monument historique le , construite par l'architecte Henry Jacques Le Même (1897-1997) en 1938, est située à proximité du groupe scolaire Alphonse-Pheulpin.
- 5 Monuments aux morts de la guerre de 1870 – un des rares monuments aux morts de la guerre de 1870 en France. Il est érigé sur le square du Souvenir français et de la Résistance. Ce monument, inauguré en 1904 par François-Xavier Niessen, fondateur du Souvenir français, possède la particularité d'être à la fois dédié aux victimes de guerre mais aussi du travail.
- Vue générale de Ronchamp et la colline de Bourlémont dominé par la chapelle.
- L'église Notre-Dame-du-Bas.
- L’intérieur de l'église.
- Le square du Souvenir français et de la Résistance avec le monument aux morts de la guerre de 1870.
Lieux divers et curiosités
modifier- Le calvaire de Mourière datant du XVIe siècle.
- L'allée du Canal.
- 6 Filature de Ronchamp une ancienne usine de tissage et de filage textile industriel reconvertis en un complexe voué à une portée régionale regroupant une salle omnisports, une galerie d'exposition, des studios de répétition musicale, une halle publique, un fablab et des locaux destinés à l'artisanat.
Patrimoine minier
modifierVoir Bassin minier de Ronchamp et Champagney.
Lieux touristiques
modifier- 7 Musée de la mine Marcel-Maulini , +33 3 84 207050, courriel : contact@mineronchamp.fr Du 1er novembre au 31 mars : mardi au samedi de 13h30 à 17h30 ; du 1er avril au 31 octobre : mardi au vendredi de 10h à 12h et de 13h30 à 17h30 ; samedi et dimanche de 13h30 à 17h30 ; fermé les 1er et 8 mai, 15 août, 1er et 11 novembre et vacances de noël. gratuit à 3,5 €. – au centre-ville, pour la découverte de l'histoire du bassin minier, de la vie des mineurs et le matériel employé.
- 8 chevalement du puits Sainte-Marie gratuit. – construit par Charles Tournay en 1924 et les ruines des bâtiments annexes de la fosse éponyme.
- 9 Les vestiges du puits de l'Étançon gratuit. – et le mémorial de la catastrophe du .
- Le musée de la mine.
- Le chevalement du puits Sainte-Marie.
- Ruines d'un bâtiment du puits Sainte-Marie.
- L'entrée du puits de l’Étançon sécurisé et rénové.
- Vestiges d'un bâtiment du puits de l’Étançon.
Monuments d'hommage
modifier- 10 Le Cube des Prêles – évoque la formation du charbon.
- 11 Le monument du hameau de la Houillère – rappel les premiers travaux miniers.
- 12 La stèle de la catastrophe de l'Étançon – rend hommage aux victimes de cette catastrophe.
- 13 Le mémorial de la mine – construit par l'association des amis du musée de la mine en 2005. Représentant, par des mini-chevalements, tous les puits du bassin minier, sa forme de trou de serrure évoque la « clé » du développement économique de Ronchamp qu'est l'extraction du charbon.
- 14 Le bas relief des mineurs – rendant hommage aux mineurs et à leurs conditions de travail.
- Le Cube des Prêles.
- Le monument du hameau de la Houillère.
- La stèle de la catastrophe de l'Étançon.
- Le mémorial de la mine.
- Train de mine reconstitué au centre-ville.
Curiosités
modifier- 15 Les anciens bâtiments du puits Saint-Charles – datant du milieu du XIXe siècle, convertis en logement et toujours en bon état.
- Les nombreux terrils situé sur les trois communes du bassin minier.
- Les nombreuses dalles en béton recouvrant les anciens puits de mine, dont certaines comme celle du puits du Tonnet se trouve sur des sentiers pédestres.
- Les cités minières et dortoirs proches des anciens puits.
- Ruines du puits Arthur de Buyer.
- La cheminée du puits Arthur de Buyer.
- La trémie en béton de l'ancienne cokerie.
- Les bâtiments de l'ancien puits Saint-Charles.
- Les terrils du Chanois.
Circuits pédestres
modifierQuatre circuits pédestres permettent de découvrir le patrimoine minier ronchampois :
- Les cités ouvrières – (CCRC : Communauté des Communes Rahin et Chérimont), découverte du hameau de la Houillère et des travaux miniers des affleurements.
- Mines & Forêts – (CCRC), découverte des sites miniers du XXe siècle (puits du Chanois, centrale thermique, triage-lavoir-cokerie, grands terrils, tunnel du puits Arthur-de-Buyer et puits du Magny en parallèle d'une visite forestière.
- Arts & Histoire – (CCRC), visites des principaux monuments du centre historique et de la colline de Bourlémont (église Notre-Dame-du-Bas, chapelle Notre-Dame-du-Haut, chemins de Croix et puits de mine Sainte-Marie.
- Sentier des affleurements de l’Étançon – (AMM : les Amis du Musée de la Mine), découverte des travaux miniers des affleurements de l'Étançon (galeries du XVIIIe siècle et des années 1950).
Faire
modifierLa Communauté des Communes du Rahin et Chérimont (CCRC) propose une quinzaine de sentiers pédestres autour de Ronchamp dont quatre passent dans la ville.
Acheter
modifierManger
modifierBoire un verre / Sortir
modifier- 1 Le Joussy 3 Rue du Plain, +33 3 84 20 64 50 – Bar-tabac-presse-PMU
- 2 Le Franc Brasseur 9 Q, Allée du Canal (site de la Filature), +33 6 11 90 32 48 – Micro-brasserie produisant de la bière artisanale locale « La Dormoyse ».
- 3 Le Bistrot Comtois 33 avenue de la République (Voie verte) – Bar à vins, restaurant.
- 4 Le Seven 2 Avenue de la République – Bar.
- 5 Chez Bruno 9 Rue du Plain, +33 3 84 20 62 17 – Bar-restaurent.
Se loger
modifier- 1 Le Manoir aux trois charmes 57 rue Le Corbusier – maison de maître dans le centre.
- 2 La Maison D'hôtes du Parc 12-14 rue du Tram – propose des caractéristiques proches du château de la houillère, mais il est plus proche du centre.
- 3 L'hôtel-restaurant Le Rhien-Carrer 14 rue d'Orière – se trouve plus à l'écart, au Nord de la commune près du cours d'eau Le Rhien.
- 4 L'hôtel Le Ronchamp 1 rue Neuve – situer à coter du parc du centre-ville et des principaux axes routiers.
Aux environs
modifier- 1 Magny-Danigon (au sud)
- Le puits du Magny.
- Le puits Arthur-de-Buyer.
- La cokerie et le lavoir du Chanois.
- Luxeuil-les-Bains (à 17 km au Nord de Lure par la voie rapide et à 28 km de Vesoul par la N57.) – Ville thermale déjà connue du temps des Romains.
- Lure – altitude 300 m. - 10 000 habitants - Paris 410 km. - Belfort 30 km, Besançon 80 km - SNCF sur l'axe Paris-Bâle, sous-préfecture - Patrie de Georges Colomb, père du Sapeur Camember.
- Fougerolles, Altitude 310 m. Paris 367 km. - Epinal 47 km, Vesoul 39, Remiremont 24, Plombières 11, Luxeuil 9 km par la N57 puis la D83, dans le Parc Naturel des Ballons des Vosges.
- Capitale du kirsch, Fougerolles s'étend sur 5 112 hectares. Au printemps, la marée blanche de cet immense verger précède le temps des cerises et le silence de l'hiver troublé par le murmure du kirsch s'écoulant des alambics.
- Ecomusée du Pays de la Cerise Tél. 03 84 49 52 50 , du 15 mai à fin septembre. Réparti dans sept bâtiments, le musée offre tout un panel d’objet de la vie rurale et du savoir faire de la Région et matière de distillation.
- Circuit patrimonial de Fougerolles-le-Château au petit moulin.
- Parc animalier de Fougerolles St-Valbert
- Parcours de santé - Sentiers pédestres balisés - Circuits VTT.
- Site de l’écomusée
- Site de l’office du tourisme
- Saint-Valbert, en venant de Luxeuil par la N57, au carrefour pour Fougerolle prendre à droite.
- Ermitage (VIIe s.), église classée du XVIIIe - 54 croix dont une classée au monument historique - Oratoires - Chapelles
- Champagney (à 4 km de Ronchamp sur la D4.) – Le village, très étendu au milieu des champs et des forêts, est surtout connu pour son barrage-réservoir et sa Maison de la Négritude et des Droits de l’Homme. Ce lieu de mémoire de autour de l'esclavage des Noirs, s'enracine dans l'histoire locale. Il rappelle que le , les habitants de Champagney demandèrent, dans l'article 29 de leur cahier de doléances, l'abolition de cette forme d'esclavage.
- 5 Le balcon d'Éboulet – offre une large vue sur Ronchamp, Champagney, la chapelle de Le Corbusier et les Vosges, notamment la Planche des Belles Filles.
- Panorama depuis le balcon d'Éboulet.
- Faucogney , Altitude 363 m. - Paris 400 km. - Epinal 55 km, Remiremont 28 km ,Vesoul 47 km , Belfort 44 km, Mulhouse 86 km, Besançon 105 km . gares de Remiremont, lure, Luxeuil. Parc Naturel régional des Ballons des Vosges. Tour du XIVe s, belles unités de façades, maisons du XVIIIe, fontaine de la même époque,
Vestiges de l'ancien prieuré St Jean Baptiste, fondation du moine St Colomban en 580 vestiges de l'ancienne forteresse et des remparts rasés en 1674 - Cité au long et glorieux passé historique, Faucogney fut un des derniers bastions de l'indépendance Comtoise. La ville fut prise par les Français en juillet 1674, après une résistance acharnée.
- Les 1000 étangs, il y a 12000 ans, des glaciers ont façonné un paysage unique : le plateau des 1000 étangs. Site naturel qui a conservé son authenticité. Véritable paradis de la randonnée avec ses paysages de Landes, forêts, prés entremêlés de ruisseaux et de plans d'eau.
- Circuit des panoramas (85 km en voiture ) Route des chalots (ancienne réserve à grains ) entre Vosges et Haute Saône à faire en voiture). La Route des mille étangs , route du Parc Naturel des Ballons des Vosges.
- Site Web des 1000 étangs
- Site de l’office du tourisme
- Château Lambert, l’écomusée départemental de la montagne entre Franche-Comté et Lorraine (03 84 20 43 09), voit le jour en 1977. Situé après le Col des Croix à 34 km de Lure sur la D486 ou à 4 km du Thillot (Vosges), dans la région des Vosges Saônoises, le musée évoque la vie rurale en montagne, notamment les métiers de la forêt et de l’artisanat du bois au début du XXème siècle. Installé en partie à l'extérieur, celui-ci présente aussi les activités de la ferme, du moulin et de la forge.
- Héricourt, à 30 km de Lure et 9 km de Montbéliard, jusqu’en 1793 la Seigneurie D’Héricourt faisait partie du Comté de Montbéliard avec une histoire commune. Face à face de deux civilisations : celto-gallo-romaine et germanique, face à face de deux églises : romaine et réformée
- Le Musée Minal accueille ponctuellement des expositions de photos, peintures, sculptures, artisanat, travaux d'élèves, ainsi que des expositions à thèmes (libération d' Héricourt, le Printemps Musical, Adolphe Kégresse inventeur de la chenille et sa célèbre Croisière Jaune...).
- Véritable forteresse du Moyen Âge, se dressait sur un banc de pierre calcaire dans la partie supérieure de la ville côté Nord, flanqué de fortes tours reliées entre elles par un solide rempart de 12 m de haut - 4 m de large environné d'un fossé de 8 m rempli d'eau de source - un puits de 26 m de profondeur et 2,50 m de diamètre alimentait les habitants du château. Démantelé au XVIIIe siècle, il ne reste que la grosse tour - un escalier de pierre donne accès à 3 salles spacieuses - une cheminée occupe chacune d'elle.
- Le Fort du Mont-Vaudois (1874), en cours de restauration et visitable, servait de camp retranché de Belfort avec le fort du Salbert.
- Site de la mairie d’Héricourt
- Site des communes du canton d’Héricourt