pays d'Océanie, au sud-ouest de l'océan Pacifique
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Nouvelle-Zélande
​((en)New Zealand, (mi) Aotearoa)
Drapeau
drapeau de la Nouvelle-Zélande
Information
Capitale
Altitude maxi.
Altitude mini.
Superficie
Population
Densité
Gentilé
Océan
Forme de l'État
Langue(s) officielle(s)
Monnaie
Religion(s)
Électricité
Préfixe téléphonique
Suffixe Internet
Sens de circulation
Plaques d'immatriculation
Fuseau
Localisation
Site gouvernemental
Site touristique

La Nouvelle-Zélande est un pays d'Océanie formé de deux îles principales. Située aux antipodes de l'Europe de l'Ouest, la Nouvelle-Zélande est une île avec un climat océanique. Le Mont Cook avec 3 764 m est le plus haut sommet au cœur d'un parc national gigantesque.

Comprendre

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Géographie

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Vue des antipodes, la Nouvelle-Zélande semble constituée de deux îles. En réalité, elle en compte beaucoup plus : les îles côtières, tout d'abord, dont certaines sont habitées, les îles australes ensuite, qui sont d'importants centres de recherche, enfin les îles Chatham et Stewart. Si vous ne visiterez probablement jamais l'île Chatham, située très à l'est des îles principales dans l'archipel du même nom, l'île Stewart, en revanche, est facilement accessible et injustement méconnue. C'est pourtant ici que vous aurez une occasion de voir des kiwis en liberté puisque ceux de Stewart sont actifs de jour comme de nuit.

L'île du Nord, appelée aussi île fumante, se distingue par son activité géothermique. Les volcans du parc national Tongariro et celui d'Egmont sont des centres de randonnée réputés. C'est aussi sur l'île du Nord que l'on trouve des centres d'eaux thermales dont le plus connu est Rotorua. Rotorua est aussi un centre culturel et spirituel maori important, bien qu'un peu surfait. Ceux qui s'intéressent à la culture maorie iront aussi à Auckland et le long de la Wanganui River. Les mauvaises langues prétendent que pour rencontrer la culture maorie, il vaut mieux aller dans le South Auckland, connu depuis le film "Once were warriors" ("l'Âme des Guerriers"). S'il est vrai que les Maoris ont souvent été ostracisés et relégués dans la lointaine banlieue d'Auckland, vous rencontrerez malgré tout quelques communautés rurales tout au long de votre voyage. L'île du Nord est aussi la plus peuplée puisque trois Néo-Zélandais sur quatre y habitent. Plus urbaine, plus développée, l'île du Nord a perdu beaucoup de son patrimoine naturel. Il reste cependant quelques belles forêts dans le Northland, dans les Coromandel, dans la Waikato, ainsi que dans l'est.

L'île du Sud, plus sauvage, est appelé île de Jade : les Maoris y venaient puiser le jade dont ils se servent pour leurs tikis. Cette île abrite les plus beaux parcs nationaux du pays. Sur la partie ouest de l'île, la colonisation ayant été plus tardive, les forêts ont gardé leurs secrets et vous y découvrirez les espèces les plus emblématiques du pays.

En général, la Nouvelle-Zélande a un climat maritime tempéré, avec des étés chauds, des hivers frais et des précipitations régulières tout au long de l'année. Il y a quatre saisons, l'été en décembre-février et l'hiver en juin-août (à l'opposé de l'hémisphère nord). La géographie du pays crée environ 10 régions climatiques distinctes, allant du climat presque subtropical au nord d'Auckland au climat presque continental et semi-aride dans le centre d'Otago.

Les chaînes de montagnes situées le long de l'axe nord-est-sud-ouest de la Nouvelle-Zélande constituent une barrière contre les forts vents d'ouest dominants, souvent appelés les quarantièmes rugissants. L'air humide qui frappe les montagnes est poussé vers le haut et refroidi, l'humidité retombant vers l'ouest sous forme de pluie. En conséquence, la moitié ouest du pays reçoit des précipitations supérieures à la moyenne et la moitié est, moins que la moyenne. Cet effet est particulièrement prononcé dans l'île du Sud et les Alpes du Sud : la côte ouest reçoit 2 000 à 7 000  mm de pluie par an, tandis que les régions côtières de Canterbury et d'Otago à l'est n'en reçoivent que 500 à 800  mm. La plupart des autres endroits reçoivent en moyenne entre 600 et 1 600  mm par an. Dans les régions du nord et du centre du pays, le temps est généralement plus sec en été ; dans les régions du sud, il est généralement plus sec en hiver.

En été, les températures maximales journalières moyennes varient entre 17°C et 25°C. En hiver, les températures maximales journalières moyennes varient entre 7°C et 16°C et les minimales nocturnes entre -3°C et 8°C. Les températures les plus chaudes se situent généralement au nord et à l'est des deux îles, tandis que les températures les plus fraîches se situent généralement dans les parties intérieures des deux îles et dans le sud de l'île du Sud. Les heures d'ensoleillement sont les plus élevées dans les régions côtières de Bay of Plenty , Nelson Bays et Marlborough .

La neige tombe principalement dans les régions montagneuses du pays et dans certaines régions de l'intérieur des terres, et peut parfois entraîner la fermeture des cols de montagne et des routes en altitude en hiver. La neige peut tomber jusqu'au niveau de la mer dans les régions de l'est et du sud de l'île du Sud une fois tous les 1 à 2 ans. La neige dans l'ouest de l'île du Sud et sur la côte de l'île du Nord est un phénomène rare ; à Wellington, la neige descend jusqu'au niveau de la mer en moyenne une fois tous les 40 à 50 ans. Les zones non abritées du pays peuvent être un peu venteuses, en particulier dans le centre, dans le détroit de Cook et autour de Wellington.

Le climat de la Nouvelle-Zélande est très changeant et même en été, vous pouvez avoir les quatre saisons en une seule journée. Préparez-vous à ce que le temps passe du beau temps aux averses (et vice versa) sans préavis. Metservice propose des prévisions météorologiques pour dix jours à l'avance.

Histoire

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La Nouvelle-Zélande est une région géologiquement jeune. Elle fut également la dernière grande masse continentale à être colonisée par l'homme, les Polynésiens (appartenant au grand groupe austronésien ) étant arrivés vers 1250 de notre ère. Leurs descendants sont connus sous le nom de Maoris.

Ce fait, combiné à une colonisation européenne tardive et à un isolement géographique, a conduit au développement d'une nation jeune et dynamique, dotée d'une population voyageuse et instruite. Un Néo-Zélandais sur quatre (un sur trois entre 22 et 48 ans) vit à l'étranger.

Les Maoris polynésiens se sont installés en Nouvelle-Zélande vers 1280, après avoir migré depuis la région des îles Cook. La « Nouvelle-Zélande » apparaît sur les cartes néerlandaises dès 1645, après les explorations d'Abel Tasman en 1642 (dont la Tasmanie porte d'ailleurs le nom) ; les cartographes ont nommé le pays d'après la province néerlandaise de Zélande . Il est possible que d'autres explorateurs européens aient eu connaissance de l'existence de la Nouvelle-Zélande dès le milieu du XIVe siècle. Le capitaine James Cook a fait le tour du pays et cartographié les îles principales en 1769.

Au cours des 80 années suivantes, des chasseurs de phoques, des baleiniers, des commerçants et des missionnaires s'installèrent sur le territoire, mais beaucoup d'entre eux rencontrèrent une résistance farouche de la part des Maoris locaux. En février 1840, les missionnaires britanniques et les chefs maoris acceptèrent le traité de Waitangi, considéré comme le document fondateur de la Nouvelle-Zélande moderne. Le traité garantissait aux Maoris la propriété continue de leurs terres et de leurs biens et leur accordait les droits des sujets britanniques, en échange de la cession de leur souveraineté à la Couronne britannique. Une colonisation plus intensive commença la même année. Initialement annexée à la colonie de Nouvelle-Galles du Sud , la Nouvelle-Zélande fut divisée pour former une colonie distincte en 1841. Il s'avéra que le traité de Waitangi comportait un certain nombre d'erreurs de traduction et que les versions anglaise et maorie disaient des choses différentes (par exemple, la version anglaise dit « souveraineté », mais la version maorie dit « gouvernance »), ce qui entraîna des problèmes entre les Maoris et la Couronne britannique sur l'interprétation du traité. Entre 1843 et 1872, une série de guerres territoriales, conjuguées à des manœuvres politiques et à la propagation de maladies européennes, ont brisé la résistance des Maoris à la colonisation, mais ont laissé des griefs persistants. Le gouvernement néo-zélandais a depuis tenté de répondre aux griefs de longue date des Maoris, mais le processus a été compliqué et se poursuit encore aujourd'hui.

En 1882, le navire Dunedin a effectué le premier transport réussi de viande réfrigérée de Nouvelle-Zélande vers l'Angleterre. Pendant les 90 années suivantes, l'approvisionnement en viande, laine et produits laitiers des îles britanniques a constitué la base de l'économie néo-zélandaise. Le 19 septembre 1893, la Nouvelle-Zélande est devenue le premier pays (moderne) au monde à accorder le droit de vote aux femmes.

Lorsque les six colonies britanniques se fédèrent pour former l'Australie en 1901, la Nouvelle-Zélande choisit de ne pas rejoindre la fédération. À la place, la colonie britannique de Nouvelle-Zélande devint un dominion britannique autonome en 1907. Le statut de Westminster de 1931 lui offrit une indépendance complète, même si elle ne l'adopta qu'en 1947. La Nouvelle-Zélande apporta un soutien militaire au Royaume-Uni lors de la guerre des Boers de 1899-1902, et lors des deux guerres mondiales dans le cadre de l'effort de guerre allié. La nation participa également aux guerres de Malaisie , de Corée , du Vietnam et d'Afghanistan , ainsi qu'à plusieurs opérations de maintien de la paix. Cependant, la Nouvelle-Zélande resta notamment à l'écart de la deuxième guerre d'Irak, à laquelle participaient les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie.

Lorsque le Royaume-Uni a rejoint la Communauté économique européenne en 1973, la Nouvelle-Zélande a perdu son principal partenaire commercial et l'économie nationale s'est retrouvée confrontée à un avenir incertain. Le pays a alors entrepris d'importantes réformes économiques jusqu'au milieu des années 1990, a renforcé ses liens économiques avec son voisin australien et a diversifié ses exportations vers les marchés du pourtour du Pacifique.

La loi constitutionnelle de Nouvelle-Zélande a été adoptée en 1986, mettant fin à tout pouvoir résiduel du Parlement britannique pour adopter des lois pour la Nouvelle-Zélande, bien que le roi britannique reste le chef de l'État, avec un gouverneur général nommé (néo-zélandais) comme représentant en Nouvelle-Zélande.

De nombreux Néo-Zélandais se sont fermement opposés aux essais et à l'utilisation d'armes nucléaires. La Nouvelle-Zélande s'est opposée aux essais nucléaires français sur l'atoll de Mururoa, ce qui a conduit des agents secrets français à bombarder le navire de Greenpeace Rainbow Warrior alors qu'il était amarré à Auckland en juillet 1985. Le refus des États-Unis de déclarer si leurs navires en visite transportaient des armes nucléaires a conduit le gouvernement à les interdire dans les eaux territoriales néo-zélandaises en 1987. En réponse, les États-Unis ont suspendu leurs engagements envers la Nouvelle-Zélande dans le cadre de l'alliance de défense conjointe États-Unis-Australie-Nouvelle-Zélande. Les relations de défense avec les États-Unis se sont depuis dégelées et, en 2016, un navire de la marine américaine (le destroyer USS Sampson ) a été autorisé à entrer dans les eaux néo-zélandaises pour la première fois depuis près de 30 ans.

Population

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D'abord découverte au XIIe siècle par les peuples polynésiens ancêtres des Maoris, la Nouvelle-Zélande a ensuite été colonisée par la couronne britannique. Aujourd'hui sa population est majoritairement constituée de migrants ou descendants de migrants européens, appelés "Pakehas" en maori. À cela vient s'ajouter un fort flux migratoire provenant des autres îles du Pacifique, telles que les Fidji ou Samoa. La Nouvelle-Zélande est également une terre d'immigration pour les populations issues de l'Asie du Sud-Est, Inde, Sri Lanka, Malaisie, etc. Surnommés les Kiwis, les Néo-Zélandais ont la réputation d'un peuple soucieux de préserver son patrimoine naturel mis à mal par les successives vagues d'immigrations humaines.

Fêtes et jours fériés

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Les jours fériés nationaux en Nouvelle-Zélande sont : [d'artifice pour le jour anniversaire d'Auckland]

  • 1er janvier : Jour de l'An. Si ce jour tombe un week-end, le 3 janvier est considéré comme un jour férié.
  • 2 janvier : Jour de l'An. Si le jour tombe un week-end, le 4 janvier est considéré comme un jour férié.
  • 6 février : Journée de Waitangi, marquant l'anniversaire de la signature du traité de Waitangi en 1840. Si le jour tombe un week-end, le lundi suivant est considéré comme un jour férié.
  • Week-end de Pâques : week-end prolongé de quatre jours en mars ou avril (fixé selon les dates chrétiennes occidentales). Le Vendredi Saint et le Lundi de Pâques sont des jours fériés. La plupart des magasins doivent rester fermés le Vendredi Saint et le Dimanche de Pâques.
  • 25 avril : Journée de l'ANZAC, commémorant l'anniversaire du débarquement des corps d'armée australiens et néo-zélandais à Gallipoli en 1915. La plupart des magasins doivent rester fermés jusqu'à 13 heures. Si le jour tombe un week-end, le lundi suivant est considéré comme un jour férié.
  • Premier lundi de juin : Anniversaire du Roi.
  • Vendredi de juin ou juillet : Matariki, qui marque le nouvel an maori. Cette fête étant liée au calendrier lunaire, la date change chaque année (elle était le 14 juillet en 2023 et sera le 28 juin en 2024).
  • Quatrième lundi d'octobre : Fête du Travail.
  • 25 décembre : Jour de Noël. La plupart des commerces doivent rester fermés. Si ce jour tombe un week-end, le 27 décembre est considéré comme un jour férié.
  • 26 décembre : Boxing Day. Si ce jour tombe un week-end, le 28 décembre est considéré comme un jour férié.

Chaque région du pays possède son propre jour férié, le jour anniversaire. Les jours anniversaires sont basés sur les frontières provinciales d'avant 1876, qui ne correspondent pas aux frontières régionales actuelles.

  • Northland, Auckland, Waikato, Bay of Plenty et Gisborne : anniversaire d'Auckland le lundi le plus proche du 29 janvier.
  • Taranaki : Anniversaire de Taranaki le deuxième lundi de mars.
  • Hawke's Bay : Anniversaire de Hawke's Bay le vendredi avant la fête du Travail.
  • Wellington et Manawatu-Whanganui : anniversaire de Wellington le lundi le plus proche du 22 janvier.
  • Nelson et Tasman : anniversaire de Nelson le lundi le plus proche du 1er février.
  • Marlborough : anniversaire de Marlboough le premier lundi après la fête du Travail.
  • Côte Ouest : Anniversaire de Westland le lundi le plus proche du 1er décembre.
  • Canterbury (au nord de la rivière Rangitata) : anniversaire de Canterbury le deuxième vendredi après le premier mardi de novembre.
  • South Canterbury : Anniversaire de South Canterbury le quatrième lundi de septembre.
  • Otago : anniversaire d'Otago le lundi le plus proche du 23 mars.
  • Southland : Anniversaire de Southland le mardi immédiatement après le lundi de Pâques.

La pause de Noël et du Nouvel An dure deux à trois semaines au cours des vacances scolaires. De nombreux bureaux et entreprises non essentielles ferment le vendredi précédant le jour de Noël (souvent plus tôt, ce qui permet d'organiser la fête de Noël du personnel dans l'après-midi) et ne rouvrent que le lundi suivant le 4 janvier. De nombreuses personnes profitent de cette période pour faire leurs vacances d'été, alors attendez-vous à ce que les transports et l'hébergement dans les lieux touristiques populaires soient réservés des mois, voire un an, à l'avance.

Le ministère de l'Éducation définit l'année scolaire pour toutes les écoles publiques et intégrées à l'État (96,5 % de toutes les écoles). Les élèves du secondaire (âgés de 13 à 18 ans) partent généralement en vacances d'été une fois qu'ils ont terminé leurs examens au début du mois de décembre, tandis que les élèves du primaire (âgés de 5 à 12 ans) partent en vacances à la mi-décembre. Les élèves retournent à l'école fin janvier ou début février. Il y a trois périodes de vacances de deux semaines chacune : une en avril (incluant généralement Pâques), une en juillet et une en septembre/octobre. Les étudiants du supérieur commencent généralement fin février ou début mars et terminent début novembre, avec une pause hivernale de trois à quatre semaines en juin/juillet et deux pauses d'une semaine en milieu de semestre à Pâques et fin août.

Tourisme

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Comme tout bon pays émergeant sur la scène touristique internationale, la Nouvelle-Zélande essaie de proposer une offre de qualité, mais hélas pas toujours très diversifiée et ce n'est peut-être pas plus mal ainsi. Les Néo-Zélandais semblent s'être très largement inspirés de ce qui semble marcher le mieux ailleurs, à savoir le modèle touristique européen. Le meilleur atout de ce pays reste ses paysages et une nature préservée grâce à sa faible densité de population. Les loisirs sportifs sont d'une grande importance et les sports mécaniques tel qu'un puissant hors-bord capable de monter de 0 jusqu’à 100 km/h, offre des sensations folles pour beaucoup. Jouer les James Bond au milieu d'un cours d'eau magnifique semble toujours faire recette. Le survol en hélicoptère ou avion des différents reliefs du pays (Mont Cook, glaciers de Franz Josef et Fox Glacier) sont également des " points forts " de la Nouvelle-Zélande. Le saut à l'élastique (notamment de la tour d' Auckland) est également une autre source de sensation forte. Tout cela contribue à donner à ce pays, une image jeune et dynamique.

Régions

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Carte de la Nouvelle-Zélande
Île du Nord (Northland, Bay of Plenty, Hawke's Bay, Waikato)
Île du Sud (Marlborough, Canterbury, Catlins, Otago, Southland)
Îles éloignées (Île Stewart, Îles Chatham, Îles sub-antarctiques)

Île du Nord — Climat chaud, paysages allant des plages de sable et des collines agricoles aux forêts et montagnes volcaniques avec sources chaudes géothermiques.

Baie des Îles
Baie des Îles

Île du Sud — Montagnes et fjords spectaculaires, forêts de hêtres, plages, glaciers, paradis des motards.

Péninsule de Kaikoura
Péninsule de Kaikoura

Îles éloignées — Les autres îles sauvages et isolées de Nouvelle-Zélande, de l'île Stewart voisine et accessible aux îles sub-antarctiques battues par les vents et aux lointaines îles Kermadec inhabitées.

Halfmoon Bay sur l'Île Stewart
Halfmoon Bay sur l'Île Stewart
  • 1 Wellington Logo indiquant un lien vers le site web Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  Capitale politique, administrative et culturelle de la Nouvelle-Zélande.
  • 2 Auckland  ville la plus vaste et la plus peuplée de Nouvelle-Zélande.
  • 3 Christchurch  Surnommée la "cité-jardin", la ville comptait l'un des patrimoines architecturaux les plus anciens du pays.
  • 4 Dunedin  Ville universitaire par excellence, l'Édimbourg du Sud attire le touriste par son héritage écossais et notamment son architecture. On y trouve également la rue la plus pentue au monde. Les gens ici parlent avec un accent écossais très prononcé et sont très fiers de leur ascendance qui a donné son nom à l'équipe provinciale de rugby : les Highlanders. D'un point de vue architectural, la ville n'a pas les mêmes charmes que Christchurch. Vous trouverez malgré tout une étonnante place octogonale et une ancienne gare. Les musées de la ville valent également le coup d'œil, en particulier le musée provincial et le musée d'art moderne. Ville universitaire et ouvrière, Dunedin est aussi une ville animée. Les pubs sont un autre attrait de la ville.
  • 5 Hamilton
  • 6 Napier  La "capitale arts-déco" de Nouvelle-Zélande, également réputée pour ses vignobles
  • 7 Nelson  Nichée entre mer et montagne, la petite ville provinciale de Nelson, au Nord de l’Île du Sud est une ville où il fait bon vivre. De nombreux artistes et artisans y ont établi résidence attirés par la beauté de ses paysages, son ensoleillement exceptionnel, ses vignobles et oliveraies. C'est une destination idéale pour le touriste en quête de culture. Les ateliers et les galeries sont heureux d'accueillir les visiteurs. Une nouvelle forme de tourisme y est née: le "creative tourism" qui offre aux visiteurs la possibilité de passer une journée ou deux avec un artiste ou un artisan nelsonien pour y apprendre les bribes de son art ou de sa technique.
  • 8 Queenstown  la capitale de l'adrénaline et des sports extrêmes

Autres destinations

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Voir aussi : Patrimoine mondial en Nouvelle-Zélande
  • Wapouha forest. Situé au nord de Dargaville, cette forêt est composée de nombreuses fougères géantes ainsi que des 3/4 des kauris (Agathis australis) encore vivants en Nouvelle-Zélande. Vous pouvez voir le plus vieux (environ 2000 ans) et le plus gros (16 m de circonférence et plus de 4 m de large) en suivant les sentiers balisés. Possibilité d'hébergements (camping, bungalow) dans la forêt.
  • Puketi Forêt situé près de Bay of Island. Camping du DOC, sentiers de randonnées de 1 h à 2 jours. Nombreux oiseaux : tuis (Prosthemadera novaeseelandiae), kiwis (Apteryx), rhipidures (Rhipidura) et ... quelques kauris.
  • 1 Baie des Îles (Bay of Island) Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  Lieu très touristique où il est possible de se baigner dans une eau transparente, visiter les îles parmi les 144 que compose la baie, sortir en bateau ou en voilier, voir et nager avec des dauphins. Hébergement et camping principalement à Russell et Pahiha. À côté de Pahiha, se trouve Waitangi, le lieu où a été signé le traité entre l'Angleterre et les chefs Maori au XIXe siècle. La maison, le jardin se visite. Le est un jour férié en l'honneur du jour de la signature. Waitangi organise une grande festivité gratuite toute la journée.
  • 2 Parc national d'Arthur's Pass Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  Il n'y a que trois routes ou pass qui relient la côte est à la côte ouest. La première est le Lewis Pass. Moins connu qu'Arthur Pass, le Lewis a néanmoins de nombreux atouts à faire valoir. Le premier est que cette route est moins fréquentée, moins alpine, ce qui peut-être un sérieux avantage en cas de mauvais temps, et surtout plus forestière. Nombre de touristes francophones sont un peu décontenancés lorsqu'ils abordent pour la première fois la forêt néo-zélandaise. Forêt humide, dense, parfois même impénétrable, elle n'invite pas d'emblée à la découverte. Sous l'effet des fougères arborescentes et des supplejack trees (Ventilago viminalis), arbres constitués de lianes qui s'enroulent autour des branches voisines et créent des amas végétaux, la forêt devient sombre et les essences indistinctes. Il faut se laisser apprivoiser par la forêt et par les animaux qui la peuplent. wekas (Gallirallus australis) et autres rhipidures ne tarderont pas à venir au contact. Vous découvrirez aussi des arbres comme il n'en existe qu'en Nouvelle-Zélande et lorsque des noms comme remu, kakatea ou rata vous seront devenus familiers, vous aurez découvert le bien que les Néo-zélandais conservent le plus précieusement. Pour que ces noms aient un futur, ils ont mis sous protection un tiers du territoire et dépensent des millions de dollars chaque année pour les préserver des espèces invasives. La véritable star de ces montagnes est le kéa (Nestor notabilis), que l'on peut voir à de nombreux endroits le long de la route et sur les chemins de randonnée. Le kéa n'est pas à proprement parler une espèce en péril, bien qu'il fût un temps menacé à Arthur Pass en raison des dégâts qu'il causait. Dans les années 1990, les Néo-zélandais ont pris conscience de la menace qui pesait, et qui pèse toujours, sur leurs espèces endémiques. Le pays s'est clairement prononcé pour la conservation du kéa et depuis les oiseaux prospèrent, créant ainsi une plus-value touristique.
  • 3 Te Wāhipounamu Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  Logotype du Patrimoine mondial Le site est inscrit au patrimoine mondial naturel. Il englobe le Parc national de Westland et du Mont Cook et le Parc national de Fjordland, situés au sud-ouest de la Nouvelle-Zélande. Ce site offre un paysage modelé par les glaciations successives, de côtes rocheuses, de fjords et de lacs. Les deux tiers de sa superficie sont recouverts de forêts de hêtres méridionaux et de conifères, dont certains sont âgés de plus de 800 ans.
    • 4 Parc national de Fiordland Logo indiquant un lien vers le site web Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  Le Fiordland est considéré, à raison, comme le bijou de la Nouvelle-Zélande. Un territoire immense, unique. S'il fallait employer les superlatifs qui le caractérisent, la liste serait immense. Songez: 700 espèces végétales uniques, que vous ne trouverez en aucun autre point du globe, une faune extrêmement riche (dont le géant kakapo (Strigops habroptila)), des paysages à couper le souffle et des centaines de kilomètres de sentiers de randonnée au milieu d'une nature totalement vierge.
  • 5 Parc national de Paparoa Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  Bienvenue dans le cœur de la West Coast. Ici, c'est la montagne, le Paparoa Range, et la mer réunis. On y retrouve des vastes plages désertes, des refuges de phoques, et des eaux où vous pourrez nager avec les dauphins. Côté logement, vous trouverez plusieurs types d'hébergement. Refuge des idéalistes, la West Coast a été le lieu de quelques expérimentations architecturales. Certaines ont été pensées pour accueillir le public comme le Beaconstone, un Backpackers entièrement autonome avec énergie solaire, collecteur d'eau et même toilettes sèches. Une expérience unique.
  • 6 Parc national de Kahurangi Logo indiquant un lien wikipédia Logo indiquant un lien vers l'élément wikidata  À l’écart des grands axes touristiques, l'Oparara Basin, un secteur du parc national de Kahurangi, est injustement négligé. C'est pourtant un endroit à la fois préservé de l'activité humaine et très accessible. Les logements à Karamea, de qualité et bon marchés, permettent d'aborder ce lieu exceptionnel : rivière rouge sur sable blanc, forêt tempérée vierge, arches naturelles spectaculaires, cavernes, endémisme, etc. Le détour pour y accéder est conséquent mais consacrer 2 journées à visiter ce lieu, exceptionnel et encore épargné par la marée de touristes qu'on rencontre le long de la route nationale no 6, se justifie amplement.

Christchurch et la Banks Peninsula

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Banks Peninsula est une très ancienne colonie française. Cette influence se fait encore ressentir à Akaroa, qui est sans doute la seule ville de Nouvelle-Zélande construite autour de son port. Alors que les autres villes sont généralement construites à l'intérieur des terres, Akaroa offre un large front de mer où des échoppes vendent des Fish & Chips de poisson frais et où des pubs offrent des tables en terrasse. Bref, un petit goût de Méditerranée.

Si la forêt a ici battu en retraite, Banks Peninsula offre d'autres intérêts. Dans ses eaux nagent des dauphins et d'autres cétacés, tandis que les flancs dénudés de ses collines offrent de beaux points de vue sur la côte et sur les baies de la péninsule.

L'autre centre d'intérêt de Banks est Lebon's Bay. Vous trouverez là-bas un backpacker qui a excellente réputation. Le propriétaire propose chaque soir un grand repas auquel tous sont conviés. Un bon moyen de rencontrer les autres backpackers.

La forêt néo-zélandaise est, de l'avis de spécialistes de la FAO, l'une des plus belles au monde. Véritable joyau des antipodes, elle est aujourd'hui menacée par de nouvelles espèces animales ou végétales que les colons ont importées pour retrouver là-bas les paysages qu'ils avaient laissés ici. Le tourisme fait peser une menace semblable sur le patrimoine culturel néo-zélandais. Au-delà des querelles d'églises entre tenants de l'écotourisme, du tourisme solidaire ou autres, cet article veut simplement proposer un regard différent sur la Nouvelle-Zélande et vous inviter à découvrir les marges des cartes postales.

Formalités

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  •      Nouvelle-Zélande
  •      Exemption de visa pour 3 mois
  •      Royaume-Uni, Exemption de visa pour 6 mois
  •      Australie (statut de résident à l'arrivée)

Les voyages touristiques et d'affaires de moins de trois mois ne nécessitent pas de visa. Il faut être en possession d'un billet retour et d'un passeport valide trois mois après la fin de votre séjour.

  • Immigration New Zealand Logo indiquant un lien vers le site web   Informations en Anglais

Tous les visiteurs, à l'exception des citoyens australiens, doivent obtenir une autorisation de voyage électronique ou un visa avant le voyage pour entrer ou transiter en Nouvelle-Zélande.

Les citoyens des îles Cook , de Tokelau et de Niue sont citoyens néo-zélandais. Cependant, en raison de lois d'immigration différentes, les citoyens de ces pays doivent présenter leur passeport à l'entrée et à la sortie de la Nouvelle-Zélande. Ces pays ont également leurs propres politiques de visas ; consultez leurs articles respectifs pour plus de détails si vous prévoyez de les visiter.

At major international airports, citizens of New Zealand, Australia, Austria, Belgium, Canada, mainland China, Denmark France, Germany, Ireland, Japan, Luxembourg the Netherlands, Romania, Singapore, South Korea, Spain, Sweden, Switzerland, the United Kingdom and the United States who are aged 10 and over and possess ePassports may make use of the automated border control gates (eGates). Being able to use an eGate does not exempt you from visa requirements.

Minimum validity of travel documents

  • New Zealand and Australian citizens and permanent residents need to only present a passport that is valid on the dates they arrive in and depart from New Zealand.
  • Others entering as a visitor, student or temporary worker must present a passport valid either for at least 3 months beyond the date they intend to depart, or for 1 month beyond the date they intend to depart if the issuing government has consular representation in NZ that is able to issue and renew travel documents (you should check with your issuing authority before travelling).
  • See Immigration New Zealand for more info.

Tous les voyageurs, quel que soit leur âge ou leur nationalité, doivent remplir une déclaration de voyageur néo-zélandais lorsqu'ils entrent en Nouvelle-Zélande. Vous pouvez soumettre la déclaration au plus tôt 24 heures avant votre départ du dernier aéroport ou port maritime étranger avant la Nouvelle-Zélande, et vous devez la soumettre avant d'atteindre le contrôle des passeports (si vous voyagez par avion) ​​ou les quais de votre navire en Nouvelle-Zélande (si vous voyagez par mer). La déclaration peut être effectuée en ligne, sur l'application NZTD ou en utilisant une carte d'arrivée papier.

Exemption de visa et autorisation de voyage électronique (NZeTA)

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Les ressortissants étrangers des pays et territoires suivants sont éligibles à l’exemption de visa :

  • Trois mois : Tous les États membres de l'Union européenne , Andorre , Argentine , Bahreïn , Brésil , Brunei , Canada , Chili , Hong Kong RAS (y compris les passeports britanniques (d'outre-mer)), Islande , Israël , Japon , Koweït , Liechtenstein , Macao , Malaisie , Maurice , Mexique , Monaco , Norvège , Oman , Qatar , Saint-Marin , Arabie saoudite , Seychelles , Singapour , Corée du Sud , Suisse , Taïwan , Uruguay , Émirats arabes unis , États-Unis et Cité du Vatican .
  • Six mois : Royaume-Uni (citoyens britanniques et autres détenteurs de passeports britanniques qui fournissent la preuve du droit de résider de manière permanente au Royaume-Uni)

Pour entrer ou transiter en Nouvelle-Zélande avec une dispense de visa, les étrangers doivent remplir une autorisation de voyage électronique néo-zélandaise (NZeTA) . Cela vous coûtera 17 $ (via l'application) ou 23 $ (via le site Web) selon la méthode de demande. Vous n'avez pas besoin de payer la taxe sur la conservation et le tourisme des visiteurs internationaux si vous transitez simplement par l'aéroport international d'Auckland vers une autre destination internationale.

La plupart des visiteurs devront également payer 35 $ supplémentaires (qui seront portés à 100 $ à compter du 1er octobre 2024) de taxe internationale pour la conservation et le tourisme des visiteurs (IVL) au moment de leur demande de NZeTA ; les citoyens de la plupart des pays océaniens et les résidents permanents d'Australie en sont exemptés. L'approbation de la NZeTA peut prendre 72 heures ou plus et il est donc essentiel de faire la demande bien avant votre vol. La NZeTA et l'IVL sont valables deux ans.

Le coût total du NZeTA, y compris l'IVL, avant le 1er octobre 2024 est de 52 $ (via l'application) ou de 58 $ (via le site Web), et après le 1er octobre 2024 sera de 117 $ (via l'application) ou de 123 $ (via le site Web).

Une fois qu'un visiteur arrive au contrôle des passeports, il se voit automatiquement accorder un visa de visiteur avec dispense de visa pour la durée indiquée. Une fois les trois mois écoulés, vous pouvez vous rendre dans un pays voisin (Australie ou une île du Pacifique) pour un court séjour et revenir et obtenir un autre visa pour trois mois. Vous ne pouvez rester en Nouvelle-Zélande que pendant un total de 6 mois tous les 12 mois en utilisant cette méthode. Si vous souhaitez rester plus longtemps, vous devrez demander un visa de visiteur.

L'exemption de visa peut être refusée. En particulier, les visiteurs potentiels qui ont un casier judiciaire ou qui se sont vu refuser l'entrée ou ont été expulsés d'un pays doivent vérifier auprès du service d'immigration de Nouvelle-Zélande s'ils doivent demander un visa à l'avance. L'entrée peut également vous être refusée pour des raisons de santé, en particulier si vous souffrez de tuberculose (TB) ou si vous êtes susceptible d'infliger des frais importants au système de santé néo-zélandais pendant votre séjour (par exemple, vous avez besoin d'une dialyse rénale, d'une hospitalisation ou de soins en établissement). Si vous êtes enceinte et que vous prévoyez de rester en Nouvelle-Zélande au-delà de 37 semaines, vous devrez peut-être prouver que vous disposez de fonds suffisants (9 000 NZ$ ou plus) pour couvrir les frais de maternité avant d'être autorisée à entrer.

Citoyens australiens et résidents permanents

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Les citoyens et les résidents permanents d' Australie peuvent obtenir un visa de résident à leur arrivée dans le cadre de l'accord de voyage trans-Tasman, à condition de satisfaire aux exigences en matière de santé et de moralité. Ils peuvent voyager, étudier et travailler en Nouvelle-Zélande sans restriction. Ils peuvent également voter aux élections et bénéficier de certains avantages fiscaux et de sécurité sociale après une période de suspension.

Les citoyens australiens n'ont pas besoin de demander le NZeTA ni l'IVL, tandis que les résidents permanents australiens doivent demander le NZeTA avant le départ (mais pas l'IVL).

Les visiteurs en provenance de pays ne figurant pas sur la liste des pays exemptés de visa ou ceux qui souhaitent séjourner plus longtemps que la période maximale d'exemption de visa pour leur nationalité doivent demander un visa approprié. Consultez la page Web d'Immigration New Zealand pour plus de détails .

Si vous avez besoin d'un visa pour entrer en Nouvelle-Zélande, vous pouvez en faire la demande auprès d'une ambassade, d'un haut-commissariat ou d'un consulat britannique dans le pays où vous résidez légalement s'il n'y a pas de poste diplomatique néo-zélandais. Par exemple, les ambassades britanniques à Belgrade et à Tripoli acceptent les demandes de visa néo-zélandais. Les postes diplomatiques britanniques facturent 50 £ pour traiter une demande de visa néo-zélandais et 70 £ supplémentaires si Immigration New Zealand exige que la demande de visa leur soit transmise. Immigration New Zealand peut également décider de facturer des frais supplémentaires s'ils correspondent directement avec vous.

Si vous souhaitez entrer en Nouvelle-Zélande en tant que visiteur et que cette condition standard n'est pas spécifiquement levée par un visa, vous devez avoir un billet de retour ou une preuve de voyage ultérieur pour pouvoir vous enregistrer auprès des compagnies aériennes. Si vous ne l'avez pas, vous devrez acheter un billet avant d'être autorisé à vous enregistrer. Vous devez également prouver que vous disposez de fonds suffisants pour votre séjour en Nouvelle-Zélande : 1 000 NZ$ par mois, ou 400 $ par mois si votre hébergement est prépayé (une preuve de paiement est requise dans ce dernier cas).

Pour ceux qui ont besoin d'un visa et qui voyagent en groupe (avec les mêmes projets de voyage et le même itinéraire), il peut être préférable de demander les visas de groupe , beaucoup moins chers . Lors de la demande d'un tel visa, en plus des formulaires de demande individuels, un formulaire de demande de visa de groupe distinct (un seul formulaire pour l'ensemble du groupe) doit également être soumis.

Les demandes de statut de réfugié doivent être déposées avant l'arrivée, car la Nouvelle-Zélande dispose d'un programme officiel d'accueil des réfugiés. Les personnes qui se présentent dans la salle d'attente d'un aéroport sans papiers et revendiquent le statut de réfugié peuvent se retrouver en prison en attendant l'issue de la procédure judiciaire.

Exigences douanières

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Lors de votre entrée en Nouvelle-Zélande, vous devez déclarer les éléments suivants à la douane :

  • Médicaments , si vous transportez une réserve de plus de 3 mois ou tout médicament qui ne vous a pas été prescrit.
  • Marchandises restreintes ou interdites , telles que les armes, les publications indécentes, les plantes ou les animaux sauvages en voie de disparition et les drogues illégales ou contrôlées.
  • Les marchandises dépassant la franchise douanière , c'est-à-dire :
    • Plus de 3 bouteilles de spiritueux (ne dépassant pas 1125 ml par bouteille)
    • Plus de 4,5 litres de vin et de bière.
    • Plus de 50 cigarettes ou 50 grammes de produits du tabac (ou une combinaison des deux).
    • Tout bien obtenu à l’étranger ou en franchise de droits en Nouvelle-Zélande d’une valeur supérieure à 700 NZ$.
  • Toute marchandise transportée à des fins commerciales ou professionnelles, ou pour le compte d’une autre personne.
  • Espèces et équivalents d'espèces , y compris les chèques de voyage, les traites bancaires, les mandats, si vous transportez l'équivalent de 10 000 NZ$ ou plus.

L'importation ou la possession de la plupart des drogues récréatives, y compris le cannabis, est illégale et entraîne une arrestation. Si vous êtes reconnu coupable, vous serez passible d'une série de sanctions allant de lourdes amendes pour des infractions mineures à une longue peine d'emprisonnement, voire à la réclusion à perpétuité, pour des infractions plus graves.

Exigences en matière de biosécurité

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[] Remarque : la Nouvelle-Zélande applique strictement les lois de biosécurité et les visiteurs doivent respecter scrupuleusement toutes les règles de biosécurité. Si vous êtes trouvé en possession d'articles présentant un risque de biosécurité non déclaré, vous serez immédiatement condamné à une amende de 400 $.

La Nouvelle-Zélande a des lois de biosécurité très strictes. Étant donné l'éloignement du pays par rapport à d'autres régions du monde, de nombreux parasites et maladies endémiques ailleurs ne sont pas présents en Nouvelle-Zélande. Une part importante de l'économie repose sur l'agriculture, de sorte que l'importation, même en petites quantités, de produits alimentaires et de matières animales ou végétales non transformées est strictement contrôlée. Ces restrictions visent à empêcher l'introduction de maladies et de parasites étrangers.

Le ministère des Industries primaires (MPI) et le service des douanes néo-zélandais inspecteront tous les bagages des passagers. Ne pensez pas que vous pouvez vous en sortir en faisant entrer des articles en catimini sans les déclarer. Tous les passagers seront interrogés et tous les bagages seront passés aux rayons X et ouverts dans le cadre des procédures d'entrée standard, et des inspections aléatoires par des chiens renifleurs auront lieu. Des poubelles sont disponibles avant le point de contrôle pour jeter les marchandises interdites. Si vous ne déclarez pas les articles contrôlés, même accidentellement, vous serez condamné à payer une amende de 400 $ sur place. Pour des infractions plus graves, ou si vous ne payez pas la amende dans les 28 jours, vous pouvez être poursuivi devant un tribunal, où vous pouvez être condamné au pénal, à de lourdes amendes ou à une peine d'emprisonnement. Vous pouvez également être expulsé de Nouvelle-Zélande et ridiculisé à la télévision nationale ( Border Patrol et Dog Squad sont deux séries de téléréalité locales populaires en Nouvelle-Zélande).

Le mieux est de déclarer tout objet qui pourrait poser problème. Dans le pire des cas, le personnel des douanes confisquera et détruira l'objet, mais vous n'aurez pas à payer d'amende (ni à être expulsé). Même si vous n'avez pas déclaré un objet sur votre carte d'arrivée ou en ligne, vous pouvez toujours signaler au personnel un objet contrôlé lorsque vous arrivez au poste de contrôle sans encourir d'amende. Certains objets, comme les souvenirs en bois, peuvent être autorisés mais doivent subir un nettoyage, une stérilisation et/ou une fumigation avant de vous être remis. Des frais peuvent vous être facturés pour cela.

Les éléments suivants doivent être déclarés à la biosécurité :

  • tout aliment , qu'il soit cuit, cru, frais, conservé, emballé ou séché.
  • tout animal ou produit animal : viande, produits laitiers, poisson, miel, produits de la ruche, œufs, plumes, coquillages, laine brute, peaux, os ou insectes
  • toutes plantes ou produits végétaux : fruits, fleurs, graines, bulbes, bois, écorce, feuilles, noix, légumes, parties de plantes, champignons, canne, bambou ou paille, y compris pour les offrandes religieuses ou à usage médicinal
  • médicaments vétérinaires, cultures biologiques, organismes, sols et eaux.
  • tout équipement utilisé avec des animaux, des plantes ou de l'eau, y compris pour le jardinage, l'apiculture, la pêche, les sports nautiques et les activités de plongée.
  • tout article ayant été utilisé pour des activités de plein air ou agricoles, y compris les chaussures, les tentes, le camping, la chasse, la randonnée, le golf et l'équipement sportif.

Vous devez également déclarer si, au cours des 30 derniers jours en dehors de la Nouvelle-Zélande, vous avez visité des zones sauvages, été en contact avec des animaux (autres que des chats et des chiens domestiques ou des animaux dans des zoos et des parcs marins), ou si vous avez visité une propriété ou une entreprise qui élève ou transforme des animaux ou des plantes.

Tous les aliments doivent être déclarés à la biosécurité, même si vous pensez que ces aliments sont autorisés. Le fait de ne pas déclarer des produits alimentaires entraînera une amende de 400 $ sur place. Soyez attentif à tous les aliments que vous avez obtenus pendant votre voyage et laissez dans l'avion tous les aliments et boissons servis dans le cadre d'un repas en vol. De nombreuses personnes ont été arrêtées et condamnées à une amende pour ne pas avoir déclaré les aliments qui leur avaient été servis dans le cadre d'un repas en vol et ont quitté l'avion.

En particulier, les produits alimentaires suivants ne sont pas autorisés à entrer en Nouvelle-Zélande :

  • Produits à base de porc (porc frais, jambon, bacon, salami de porc, grattons de porc, boyaux naturels de saucisses, etc.)
  • Poulet et produits de volaille (poulet, dinde, canard, oie, foie gras, etc.)
  • Toutes les viandes et produits carnés provenant d’un pays autre que la Nouvelle-Zélande, l’Australie, le Canada, les États-Unis, l’Union européenne, le Royaume-Uni, la Suisse, la Norvège ou le Japon.
  • Oeufs entiers et leurs produits.
  • Fruits et légumes frais , ou tout produit en contenant (par exemple yaourts aux fruits)
  • Produits végétaliens contenant du jacquier ou du fruit à pain.
  • Miel et produits de la ruche.
  • Nid d'oiseau comestible
  • Tout produit alimentaire contenant de la viande, des œufs, du miel ou des fruits qui n’a pas été fabriqué commercialement.
  • Tout produit alimentaire qui n’est pas dans son emballage d’origine non ouvert.

Pour plus de conseils sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas apporter en Nouvelle-Zélande, un vérificateur en ligne est disponible sur le site Web du ministère des Industries primaires.

En avion

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Les vols directs de France vers la Nouvelle-Zélande sont inexistants, il vous faut compter au moins une escale.

La Nouvelle-Zélande est très éloignée des autres pays, c'est pourquoi presque tous les voyageurs s'y rendent en avion. Le temps de vol depuis la côte est australienne est de 3 à 4 heures, depuis l'Asie du Sud-Est de 10 à 11 heures, depuis la côte ouest de l'Amérique du Nord de 13 à 15 heures et depuis le Moyen-Orient, où se produit une thrombose, de 17 à 18 heures. Un voyage en avion depuis des destinations européennes prend de 24 à 26 heures et implique au moins une escale en Asie ou en Amérique.

Auckland ( IATA : AKL ) est le principal point d'entrée et la principale plaque tournante de la compagnie aérienne nationale Air New Zealand . Plus de 20 compagnies aériennes relient l'aéroport d'Auckland à plus de 35 destinations en Australie et dans le Pacifique Sud, en Asie de l'Est, en Amérique du Nord, à Santiago (Chili), à Dubaï (Émirats arabes unis) et à Doha (Qatar).

L'aéroport international de Christchurch ( IATA : CHC ) est le principal point d'entrée secondaire, avec des vols à destination et en provenance de l'est de l'Australie, des Fidji, de Singapour, de Dubaï (via Sydney) et de Guangzhou, ainsi que des services saisonniers à destination et en provenance de Hong Kong, Perth, San Francisco et Taipei (via Melbourne). Les aéroports internationaux plus petits de Wellington ( IATA : WLG ) et de Queenstown ( IATA : ZQN ) proposent principalement des services à destination et en provenance de l'est de l'Australie. Si vous passez par l'Australie, assurez-vous d'avoir un visa de transit si vous en avez besoin . Sinon, vous ne pourrez pas prendre votre vol.

Si vous arrivez en Nouvelle-Zélande et que vous prenez un vol intérieur, vous devrez récupérer vos bagages enregistrés, passer par la douane et la quarantaine, puis les déposer à nouveau au dépôt de bagages intérieur. Cela est vrai même si vos bagages sont étiquetés jusqu'à la destination intérieure finale.

En bateau

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Contrairement à une idée admise, il n'existe aucun service de ferry (du moins régulier...) permettant de relier l'Australie à la Nouvelle-Zélande.

Cela tient particulièrement au fait que les distances sont immenses pour une telle traversée.

Des liaisons par cargos restent envisageables si vous êtes un amateur de longues routes maritimes, une occasion parfois de faire le point sur soi-même par exemple.

Si vous tenez vraiment à emmener votre propre véhicule (pour les routards du bout du monde...) il sera nécessaire de s'adresser à une compagnie maritime transportant des containers par cargo, lesquels véhicules sont généralement stockés dedans. Les délais d'acheminement et les tarifs exorbitants peuvent s'avérer cependant décourageants si l'on ne souhaite passer qu'un certain temps sur le territoire.

Il est essentiel de procéder à des vérifications minutieuses (par écrit...) concernant l'état de votre véhicule avant sa mise en boîte, la manipulation des containers et l'effet de la marée peuvent causer certains désagréments à votre chère monture. Autant prévenir que certains véhicules ont eu la malchance de parvenir... inutilisables !

L'aspect administratif se résume à des droits de douane suivant certains paramètres et à la présentation du carnet de passage en douane, nécessaire pour accepter le véhicule avant de le faire circuler sur ces îles. Une mise en quarantaine sera également exigée, un nettoyage intérieur par aspiration et à l'extérieur par fumigation (on ne plaisante pas...). Ne pas oublier de souscrire à l'assurance locale même si cela n'est pas obligatoire.

Un faible pourcentage (1,5 %) des passagers entrent en Nouvelle-Zélande par bateau. Les navires de croisière s'y rendent régulièrement entre octobre et avril. La plupart d'entre eux partent de Sydney, Melbourne ou Brisbane en Australie, et mettent trois nuits à traverser la mer de Tasman pour atteindre la Nouvelle-Zélande.

Circuler

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En avion

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Vols intérieurs de Dunedin, Christchurch à Auckland.

L'arrivée d'une nouvelle compagnie à bas prix, bouscule le monopole de Air New Zeland. Pacific Blue permet donc maintenant des vols intérieurs à 39 NZD.

En train

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Le Tranzscenic vous amènera de Christchurch à Greymouth, sur la côte ouest de l'île du Sud. Vous pourrez admirer les Alpes du Sud en tout confort, sauf peut-être dans le wagon panoramique : à l'air libre !

Certaines compagnies effectuent les longs trajets à travers les îles.

La plus connue est Intercity Coach qui dessert les villes de tout le pays.

En bateau

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Un service régulier de ferry existe entre l'île du Nord à Wellington et l'île du Sud à Picton assuré par la compagnie Interislander.

Les traversées sont possibles de jour comme de nuit et durent entre 3 et 4 heures, l'aller-retour coûte entre 200 et 300 NZD si vous souhaitez embarquer un véhicule. Il est bien sûr possible de réserver toute traversée auprès des compagnies, cela est même recommandé si vous programmez votre trajet au mois de janvier où l'on se trouve dans l'été austral. De nombreux services sont proposés à bord des navires : un salon où se restaurer et des boutiques (vente de journaux et de souvenirs entre autres). Des spectacles sont souvent organisés à bord en faveur des plus petits comme des plus grands.

L'île Stewart est desservie par bateau entre Bluff sur l'île du Sud et Halfmoon Bay. Plusieurs navettes ont lieu chaque jour, la traversée dure environ 1 h 30. Le billet en aller simple coûte 66 NZD pour un adulte et 33 NZD pour un enfant âgé entre 5 et 14 ans (le trajet est gratuit pour ceux de moins de 5 ans). Un grand parking est implanté à l'embarcadère de Bluff ; la réservation d'une place est tout de même recommandée suivant les saisons.

Il y a aussi plusieurs bateaux qui partent du ferry building situé au cœur de Auckland permettant de visiter les îles environnantes (certaines sont vraiment jolies à voir).

En voiture

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En Nouvelle-Zélande, la conduite s'effectue à gauche de la chaussée (le volant se trouve à droite dans les véhicules), la priorité est à celui situé sur la route principale.

Même s'il arrive parfois de se retrouver aux côtés d'un fan de sensations fortes, les conducteurs kiwis n'en restent pas moins courtois sur la route.

Routes et autoroutes

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Il n'existe que quelques kilomètres d'autoroute aux environs des grandes villes, lesquelles aboutissent toujours sur une route ordinaire une fois les banlieues traversées. Le paiement s'effectue par internet dans les 5 jours suivant le passage.

L'état des routes est dans l'ensemble bon, toutefois on peut se retrouver avec des portions de routes effondrées qui restent en l'état de longs moments (par exemple : route de Broadwood - Northland). Il vaut mieux alors emprunter les routes secondaires pour éviter le trafic et profiter de paysages, souvent plus jolis lorsqu'elles existent. Les cartes routières locales indiquent un tronçon non asphalté dans les Catlins, mais c'est depuis devenu une route carrossable avec quelques nids de poule nettement entourés à la peinture.

Les ponts ne permettent parfois le passage que d'une voiture, un panneau en régit la règle de priorité. Un vrai néo-zélandais aura davantage tendance à vous laisser passer en premier, juste par politesse.

D'ailleurs, le tracé des routes n'est pas toujours bien pensé et va parfois au plus direct pour franchir les nombreuses collines du pays. Cela n'est pas sans conséquence pour les poids lourds, les véhicules un peu fatigués ou encore les rares cyclistes devant gravir des pentes à plus de 10%. De nombreux virages sont à prendre avec prudence, on peut passer brutalement d'une longue ligne droite à une épingle à cheveux (même sur l'autoroute...). C'est pourquoi, il est rare de pouvoir atteindre la vitesse autorisée sur les routes de l'archipel.

La légende veut qu'à l'origine les chèvres mangeaient l'herbe des prés, que sur leurs traces suivaient les moutons qui débroussaillaient un peu plus, qu'ensuite venaient les charrettes qui traçaient les chemins.

Et sur ces chemins, les routes ont été construites...

Afin de tordre le cou à de fausses idées, il faut savoir que traverser simplement une des deux îles demande une journée de route bien tassée, une telle performance relève même de l'exploit vu la difficulté de certains parcours (pentes et virages...) et le nombre d'agglomérations à traverser. L'idéal est donc de prévoir une moyenne comprise entre 50 et 80 km/h, afin d'obtenir une estimation plus réaliste lors de la préparation de vos étapes et d'éviter toute course contre la montre une fois sur place.

Extrait du réseau routier néo-zélandais :

  • State Highway 1 : est l'axe structurant qui dessert les deux îles principales. Reliant sur l'Île Nord le Cap Reinga à Auckland et Wellington (1 106 km...) puis Picton et Christchurch à Bluff (941 km...) sur l'Île Sud, quelques courtes sections autoroutières prennent le relais à l'approche des grandes villes.
  • State Highway 2 : quitte Wellington en direction de Napier et Tauranga, rejoignant la route SH1 au Sud d'Auckland. Comportant de nombreux lacets notamment vers le massif de Tararua, son tracé totalise 968 kilomètres.
  • State Highway 6 : partant du sud de Picton, cet axe dessert la côte Ouest par de nombreux parc naturels et divers fjords jusqu'à Invercargill en rejoignant également la route SH1. Sa longueur est de 1162 kilomètres.
  • State Highway 25 : dessert la péninsule de Coromandel située sur l'Île Nord.
  • State Highway 35 : contourne le massif de Raukumara au départ de Napier passant près du Cap Est de l'Île Nord.
  • State Highway 60 : relie Nelson au Cap Farewell, son tracé passe près du parc naturel Abel Tasman situé sur l'Île Sud.
  • State Highway 92 : relie Invercargill à Balclutha via le site naturel des Cathedral Caves.

Stations-services et commodités

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Le réseau de stations-service est bien réparti à travers le territoire, ces infrastructures permettent également pour la plupart de se procurer divers articles nécessaires à tout voyage par la route : divers articles d'entretien sont disponibles et des mets de consommation rapide sont proposés pour les voyageurs les plus pressés, sans oublier les journaux et les magazines.

Le prix du carburant est quasiment identique dans tout le pays mais nettement moins cher qu'en Europe Occidentale. Le gazole y est bien entendu disponible partout mais ce dernier reste majoritairement utilisé par les poids-lourds et les véhicules spéciaux (tout-terrain, camping-car...). La plupart des voitures et l'ensemble des motos fonctionnent au carburant "sans-plomb" dont deux types coexistent : le regular unleaded et le premium unleaded.

Si la plupart des points de vente restent ouverts 24/24 heures en ville, d'autres peuvent carrément fermer le week-end notamment en campagne.

Signalisation et réglementation

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La signalisation est tantôt ressemblante et tantôt éloignée des standards européens, le système métrique est entré en vigueur sur l'archipel depuis 1975. Les travaux sont signalés par des panneaux orange tandis que ceux indiquant un danger permanent sont de couleur jaune.

Une ligne jaune continue ou non signifie qu'il est interdit de dépasser.

Limitations de vitesse :

  • Voie express et route : 100 km/h (ramenée à 90 km/h en cas de traction d'une remorque et tous véhicules de + 3,5 tonnes...)
  • Ville : 50 km/h

Un panneau rond avec un bord cerclé de rouge portant l'inscription "LSZ" signifie "Limited Speed Zone". Il est principalement implanté là où les conditions météorologiques sont souvent mauvaises, parfois sur une portion de route en mauvais état. Si l'un de ces événements devait se produire en présence de ce panneau, il convient de ne pas dépasser 50 km/h comme le précise le code de la route néo-zélandais même si cette règle semble tomber peu à peu dans l'oubli.

L’alcoolémie autorisée au volant est de 0,8 g/l de sang.

Sachez qu'aucune indulgence ne vous sera accordée en cas d'infraction commise, que ce soit pour la vitesse ou pour l'alcoolémie. Un dépassement de 10 km/h coûte près de 100 NZ$, rouler au-delà de 50 km/h de la vitesse autorisée peut vous valoir une interdiction de conduire de 28 jours, une saisie temporaire du véhicule peut être ordonnée dans le cas extrême. Le port de la ceinture de sécurité est obligatoire dans toutes les places des véhicules, les enfants doivent être installés dans des sièges spéciaux si vous en transportez.

En cas d'accident, prévenir la police et relever avant son arrivée, l'identité du conducteur ainsi que celle du véhicule adverse. N'admettez jamais d'avance être le seul responsable même si vous pensez l'être, c'est la police établissant le rapport qui déterminera sur place.

Dangers

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La conduite de nuit ne pose généralement pas de problèmes aux abords des villes, elle devient plus délicate en zone rurale où toutes sortes d'animaux sauvages peuvent traverser la route sans crier "gare". Heurter un mouton avec son véhicule peut avoir des conséquences rudement fâcheuses pour la mécanique.

Il n'est pas rare de devoir traverser une rivière à gué auquel cas il devient nécessaire d'évaluer la profondeur, en particulier pour ne pas noyer le moteur de votre véhicule.

Le passage de la route revêtue vers la piste poussiéreuse doit toujours se faire en douceur afin de ne pas perdre le contrôle du véhicule.

Certains itinéraires même uniques dans un secteur donné sont parfois fermés en dernière minute, ce qui peut obliger à passer la nuit sur place. Il est donc nécessaire de prévoir quelques articles et vivres s'il ne vous est pas possible de trouver un toit, on ne sait jamais. Les Néo-zélandais vous le diront...

Autostop

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L’auto-stop est un moyen très efficace pour se déplacer en Nouvelle-Zélande.

Du fait du nombre peu important de routes, il est très facile de se rendre dans les plus grandes villes du pays. Bien que le trafic ne soit pas toujours important, il est rare de patienter plus de 20 min sur les axes principaux. Malgré le nombre impressionnant de touristes sur les routes, ce sont les locaux qui prennent le plus facilement.

Ils seront souvent très heureux de faire un petit détour pour vous montrer des paysages que vous manqueriez en restant sur l'axe principal et vous dispenseront tout leur savoir sur la région.

Louer ou acheter ?

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De nombreuses compagnies offrent des possibilités de location.

Cette solution est plutôt onéreuse, aussi les routards préféreront opter pour l'achat (surtout s'ils restent 2 mois ou plus...). Rien de plus simple en Nouvelle-Zélande ! Vous trouvez l'acheteur en consultant les annonces du journal, du supermarché ou des e-cafés d'Auckland. Une fois le prix convenu, vous vous rendez au bureau de poste le plus proche pour enregistrer le véhicule. Une simple formalité ! À la poste, on vous demandera de payer la "registration" si la précédente arrive à son terme. Vous aurez alors le choix entre payer un, deux ou quatre trimestres. Un trimestre coûte aux alentours de 50 NZ$.

Enfin, s'il n'est pas obligatoire de l'assurer (l'État prend en charge les frais de santé...), il est tout de même recommandé de le faire, ne serait-ce pour parer aux frais de réparation du véhicule tiers en cas d'accident. Il suffit pour cela de se rendre au Backpackers le plus proche et de demander une assurance. Si vous n'êtes pas membre, il faudra payer aussi la carte.

Quelques conseils pour acheter une voiture

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Tout d'abord, rassurons les anxieux. Faire réparer une voiture en Nouvelle-Zélande est généralement très bon marché, surtout s'il s'agit d'un modèle répandu. Choisissez des petites japonaises, leur réputation de robustesse a fait leur succès et on trouve beaucoup de ces véhicules très vieux à prix intéressants. Vous ne prendrez donc qu'un risque modéré en choisissant d'acheter un de ces véhicules qui vous amèneront absolument partout !

Les marques européennes ne sont d'ailleurs pas en reste, loin de là. Pourquoi donc ne pas essayer votre petite française avec un volant à droite et une boîte automatique ? Le choix est relativement large, il y en a pour toutes les bourses et pour tous les goûts.

De plus, la réputation d'honnêteté des kiwis n'est pas surfaite ! Les garagistes n'engageront pas de frais qui ne soient pas nécessaires. De même, si les kiwis cherchent toujours à vendre une voiture à bon prix, ils ne cherchent généralement pas à cacher les "pièges". Demandez leur si la voiture est un "citron", expression qui désigne une mauvaise affaire.

Pour toutes ces raisons, il est conseillé d'acheter sa voiture auprès d'un kiwi et si possible hors d'Auckland où certains ont fait de la voiture pour backpackers un commerce pas toujours net. Si vous tenez vraiment à acheter votre voiture en arrivant, mieux vaut aller voir chez les vendeurs de voitures d'occasion : celles-ci sont plus chères mais ont été révisées au préalable.

L'autre solution très populaire consiste à aller sur les "backpackcars", sorte de marché où ceux qui quittent la Nouvelle-Zélande vendent à ceux qui arrivent. Vous pourrez faire une excellente affaire, certains ne pouvant plus attendre, vendent leur voiture ou leur camping-car à un prix modique. Le problème est qu'il n'est pas toujours possible d'essayer le véhicule ou de se donner le temps de la réflexion. Toutes les conditions sont réunies pour faire une mauvaise affaire.

Mieux vaut alors aller à la "source" et rencontrer les vendeurs dans les campings ou les backpackers, lieux où ils logent souvent.

Enfin, lors de son choix, il faut être très attentif au document affiché sur le pare-brise. Il indique la date du prochain contrôle technique (toujours très sommaire) et de la prochaine "registration". Le contrôle technique est rapide et n'est pas très cher, surtout s'il est fait hors des grandes agglomérations. Il faut savoir que la périodicité s'avère courte entre deux visites : les véhicules âgés de moins de 6 ans sont soumis à un contrôle tous les 12 mois et tous les 6 mois pour les plus anciens.

L'immatriculation et la mise à jour du certificat de propriété se fait dans tous les bureaux de poste de l'archipel.

L'anglais, le maori et le langage des signes néo-zélandais sont les langues officielles de la Nouvelle-Zélande.

L'anglais est de loin la langue la plus parlée, l'anglais de Nouvelle-Zélande est considéré comme une des principales variantes de l'anglais et est assez différent des autres formes pour être classé comme un dialecte distinct, qui a son propre dictionnaire : le dictionnaire Oxford d'anglais néo-zélandais. Certaines expressions ne signifient pas la même chose qu'en anglais britannique et peuvent gêner le voyageur... L'accent néo-zélandais est nasal avec des sons de voyelles "diminués", eux-mêmes considèrent leur accent différent des Australiens. Ceci explique pourquoi les Néo-zélandais sont souvent offensés lorsqu'on les confond avec eux.

Le maori est encore beaucoup parlé par une minorité d'autochtones, il est bien sûr possible d'étudier cette langue dans certains instituts. Quelques noms de villes sont en langue maori et il peut être utile pour le voyageur de connaître la prononciation. Cependant, presque toutes les personnes qui parlent maori peuvent également parler couramment l'anglais.

Enfin, le langage des signes néo-zélandais est devenu une langue officielle du pays en 2005.

Acheter

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La monnaie de la Nouvelle-Zélande est le dollar néo-zélandais (NZD).

Taux de change NZD actuel
XE.com: CAD CHF EUR GBP USD
OANDA.com: CAD CHF EUR GBP USD
fxtop.com: CAD CHF EUR GBP USD
Taux de change du dollar néo-zélandais

En janvier 2024 :

  • 1 $ US ≈ 1,6 $
  • 1  ≈ 1,7 $
  • 1 £ ≈ 2,0 $
  • 1 AU$ ≈ 1,1 $
  • 1 CA$ ≈ 1,2 $
  • 100 ¥ japonais ≈ 1,1 $

Les taux de change fluctuent. Les taux actuels pour ces devises et d'autres sont disponibles sur xe.com

La monnaie utilisée en Nouvelle-Zélande est le dollar néo-zélandais , désigné par le symbole « $ » ou « NZ$ » (code ISO : NZD ). Il est divisé en 100 cents. Dans ce guide, le symbole « $ » désigne le dollar néo-zélandais, sauf indication contraire.

Le dollar néo-zélandais est une monnaie flottante, mais sauf changement majeur sur le marché international, les taux de change sont généralement stables. Les paiements en devises étrangères sont rarement acceptés, et s'ils le sont, attendez-vous à un taux de change médiocre (par exemple, les dollars australiens ou américains sont acceptés à 1:1). Le dollar néo-zélandais étant l'une des devises les plus activement échangées au monde (10e place en avril 2016), il est largement disponible dans les banques et les bureaux de change du monde entier.

Les pièces sont disponibles en valeurs nominales de 10 ¢ (cuivre), 20 ¢ (petit argent), 50 ¢ (grand argent), 1 $ (petit or) et 2 $ (grand or). Toutes les pièces représentent la reine Elizabeth II du côté « face » (les pièces représentant le roi Charles III devraient commencer à circuler entre 2025 et 27). En 2006, la Nouvelle-Zélande a progressivement supprimé la pièce de 5 ¢ et remplacé les pièces de 10 ¢, 20 ¢ et 50 ¢ par des versions plus petites. Avant ce changement, les pièces de 5 ¢, 10 ¢ et 20 ¢ étaient identiques à leurs homologues australiennes, à l'exception des côtés « pile » différents, ce qui signifie qu'il était courant de voir des pièces australiennes en circulation en Nouvelle-Zélande et vice versa. Comme il n'existe aucune pièce de moins de 10 ¢, les transactions en espèces sont arrondies au 10 ¢ le plus proche (5 ¢ peuvent être arrondis dans les deux sens, mais la plupart des entreprises arrondissent à l'inférieur).

Les billets de banque sont disponibles en coupures de 5 $ (orange), 10 $ (bleu), 20 $ (vert), 50 $ (violet) et 100 $ (rouge). Tous les billets en circulation sont imprimés sur du polymère, le recto représentant un personnage néo-zélandais célèbre (à l'exception du billet de 20 $, sur lequel figure la reine Elizabeth II) et le verso représentant un oiseau indigène de Nouvelle-Zélande.

Bancaire

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[terminal EFTPOS avec un autocollant « pas de crédit » : il n'accepterait que les cartes EFTPOS et les cartes de débit nationales] Les Néo-Zélandais sont parmi les plus grands utilisateurs de services bancaires électroniques au monde. Presque tous les magasins disposent de terminaux Eftpos pour les cartes de débit et de crédit, ce qui permet d'effectuer la plupart des achats par voie électronique.

Les terminaux Eftpos sont divisés en deux types : ceux qui acceptent uniquement les cartes nationales (émises en Nouvelle-Zélande) et ceux qui acceptent les cartes nationales et internationales.

Les terminaux qui acceptent uniquement les cartes nationales sont généralement reconnaissables à l'autocollant « pas de crédit » apposé sur le terminal. Ces terminaux acceptent uniquement les cartes de débit nationales et les cartes Eftpos. Les cartes de crédit et les cartes de débit internationales ne sont pas acceptées. Vous trouverez ces types de cartes chez les petits détaillants tels que les laiteries, les plats à emporter et les cafés qui ne servent pas d'alcool.

Les terminaux sans autocollant accepteront les cartes de débit et de crédit nationales et internationales, en plus des cartes Eftpos. En ce qui concerne les types de cartes acceptées, MasterCard et Visa sont universelles. American Express est disponible dans la plupart des grands magasins, Diners Club moins. Théoriquement, vous pouvez utiliser une carte Discover partout où vous voyez le logo d'acceptation Diners Club International ; cependant, presque aucun commerçant ne le saura, donc tant que vous avez une carte à puce et un code PIN, cela vaut la peine de la mettre dans le terminal et de l'essayer. Les cartes UnionPay sont acceptées chez certains commerçants. Si vous utilisez une carte de débit étrangère, assurez-vous d'appuyer sur « Crédit » lorsqu'on vous demande un compte afin que la transaction soit acheminée vers le réseau Visa/MasterCard ; « Chèque » et « Épargne » achemineront la transaction vers le réseau Eftpos national et votre carte sera refusée en raison d'une transaction non valide.

La Nouvelle-Zélande utilise le système de carte à puce et code PIN, qui utilise une puce électronique dans la carte et le numéro d'identité personnel (PIN) du titulaire pour vérifier la transaction. La plupart des commerçants acceptent également la méthode de balayage et de signature. Si vous utilisez une carte sans puce intégrée et que le terminal vous demande de saisir un code PIN, appuyez simplement sur la touche « Entrée » et votre transaction devrait être approuvée. Après avoir signé le reçu imprimé, il vous sera peut-être demandé de présenter une pièce d'identité avec photo. Les machines automatiques telles que celles des pompes à essence sans surveillance peuvent ne pas accepter les cartes sans code PIN.

Le paiement sans contact, connu en Nouvelle-Zélande sous le nom de « Paywave », est disponible dans la plupart des endroits qui acceptent les cartes de crédit. Aucun code PIN ni signature n'est nécessaire pour les achats inférieurs à 200 $.

Obtenir de l'argent

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La grande majorité des magasins acceptent toujours les espèces. De nombreux Néo-Zélandais n'ont pas de grosses sommes d'argent liquide sur eux, considérant cela comme un risque et plus gênant que d'utiliser leur carte Eftpos. En tant que touriste, vous devriez toujours avoir de l'argent liquide sur vous, car certains magasins n'acceptent pas les cartes étrangères.

Les distributeurs automatiques de billets (DAB), connus localement sous le nom de « trou dans le mur » ou « distributeur de billets », sont disponibles dans presque toutes les villes, même celles qui n'ont pas de banque. Les banques ne facturent plus de frais pour l'utilisation d'un DAB concurrent, mais les opérateurs de DAB indépendants peuvent toujours facturer des frais de retrait. Si vous retirez de l'argent avec une carte étrangère chez ANZ, vous devrez payer 3 $ pour utiliser leur DAB. BNZ et Kiwibank ne facturent pas les cartes étrangères. Les retraits d'espèces aux DAB sont limités à 2 000 $ par jour.

Les supermarchés et certains détaillants peuvent accepter de vous remettre une petite somme d'argent liquide lorsque vous payez votre achat avec une carte de débit nationale. Les petits détaillants peuvent souvent fixer un achat minimum d'environ 10 $ lorsqu'ils le font.

Comptes bancaires

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Si vous prévoyez de séjourner en Nouvelle-Zélande pendant un certain temps, il peut être pratique d'ouvrir un compte bancaire néo-zélandais et de mettre en place une carte locale. Toutes les banques néo-zélandaises proposent des services bancaires par téléphone et par Internet. La plupart des entreprises et des particuliers indiquent désormais leur numéro de compte bancaire à 15 chiffres (par exemple : 12-3456-0789123-00) sur leurs factures, et les clients transfèrent l'argent sur leur compte via les services bancaires par Internet. Cette pratique est courante lors de l'achat d'un véhicule ou de la pré-réservation d'un hébergement ; le paiement est généralement effectué en quelques heures, ou au plus tard le jour ouvrable suivant.

Toutes les banques néo-zélandaises permettent aux visiteurs et aux migrants d'ouvrir un compte via leurs sites Web respectifs jusqu'à six mois avant leur arrivée. Votre carte prendra environ deux semaines pour arriver et la banque sera plus qu'heureuse de vous l'attendre dans l'agence de votre choix. En Nouvelle-Zélande, les « quatre grandes » banques sont ANZ , ASB , BNZ et Westpac ; les autres grandes banques sont Kiwibank et TSB .

Vous aurez le choix entre une carte Eftpos et une carte de débit. Une carte Eftpos peut être utilisée pour payer dans les magasins en Nouvelle-Zélande et pour retirer de l'argent aux distributeurs automatiques. Une carte de débit fait tout ce qu'une carte Eftpos fait, et peut en plus être utilisée pour dépenser en ligne et à l'étranger lorsque les cartes Visa ou MasterCard sont acceptées. Une carte de débit comporte généralement des frais annuels minimes (environ 10 $) tandis que les cartes Eftpos sont gratuites.

Chèques

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Les chèques ont disparu en Nouvelle-Zélande depuis le 27 août 2021. Les banques ne les encaissent plus et les entreprises ne les acceptent pas.

La Nouvelle-Zélande est un pays assez cher pour la plupart des visiteurs, car son isolement relatif fait grimper le coût des importations. Les prix sont comparables à ceux de l'Australie voisine, même si les prix des articles individuels peuvent varier à la hausse ou à la baisse.

À titre indicatif, voici les prix moyens de certains articles courants (en date d'octobre 2020) :

  • Miche de pain (600g) – 1,30$
  • Bouteille de lait de deux litres – 3,60 $
  • Pommes – 3,30 $ le kg
  • Kiwi (vert) – 4,00 $ le kg
  • Pommes de terre – 2,20 $ le kg
  • Bœuf haché – 16,40 $ le kg
  • Côtelettes d’agneau – 18,20 $ le kg
  • Fish and chips, une portion – 7,40 $
  • Big Mac – 6,60 $

Taxes et frais

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[principale de la ville de Mosgiel, près de Dunedin] Les biens et services vendus en Nouvelle-Zélande sont soumis à une taxe sur les produits et services (TPS) de 15 %. La taxe est généralement incluse dans le prix annoncé ; les exceptions doivent préciser que la TPS est exclue ou en sus. Certains magasins, notamment dans les destinations touristiques, expédient les achats à l'étranger ou les mettent à disposition pour être récupérés à l'aéroport, car les marchandises exportées ne sont pas soumises à la TPS. Renseignez-vous sur ce service avant de faire votre achat. Les marchandises achetées et emportées avec vous seront soumises à la TPS. Les visiteurs ordinaires ne peuvent pas demander le remboursement de la TPS déjà payée lorsqu'ils quittent le pays. Les visiteurs d'affaires peuvent être en mesure de récupérer la TPS payée sur la déclaration de leur entreprise, auquel cas vous devrez fournir à votre service comptable un reçu fiscal pour tous les achats de 50 $ et plus.

La TPS et les droits de douane (le cas échéant) sont payables sur tous les biens importés au-delà de la franchise de droits. La franchise de droits par personne est de 50 cigarettes ou 50 grammes de tabac, trois bouteilles de 1 125 ml de spiritueux, 4,5 litres de bière ou de vin et 700 NZD d'autres biens en franchise de droits.

La loi néo-zélandaise exige que les employés travaillant les jours fériés soient payés 1,5 fois leur salaire normal et bénéficient d'un jour de congé payé à prendre ultérieurement. Les entreprises, en particulier les cafés et les restaurants, peuvent ajouter un supplément pour les jours fériés (généralement 15 %) pour couvrir les coûts de main-d'œuvre supplémentaires. Comme pour la TPS, si le supplément n'est pas inclus dans le prix annoncé, il doit être indiqué qu'il s'agit d'un supplément.

Négociation des prix

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La Nouvelle-Zélande dispose de lois strictes en matière de commerce équitable et de protection des consommateurs, qui exigent notamment que les biens et services soient vendus à un prix raisonnable. Dans la plupart des cas, la négociation des prix ou le marchandage sur les prix annoncés sont donc considérés comme une insulte envers le commerçant. Si vous pensez que les prix sont trop élevés, le meilleur conseil est de voter avec vos pieds.

Certains détaillants peuvent être disposés à aligner le prix d'un article ou à le réduire si vous trouvez un concurrent qui vend le même produit à un prix inférieur. Pour les articles coûteux tels que les appareils électroménagers et les meubles, les détaillants peuvent être disposés à négocier le prix si vous achetez plusieurs articles ou si vous payez en espèces ou par Eftpos.

Si vous séjournez en Nouvelle-Zélande pendant une période prolongée, le site Web Trade Me propose un modèle commercial similaire à celui du géant étranger eBay. Cependant, Trade Me met davantage l'accent sur les transactions par virement bancaire direct (une condition préalable est que vous ayez un compte bancaire néo-zélandais) et des frais minimes voire nuls lors de la mise en vente initiale d'un article.

Pourboire

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Le pourboire ne fait pas partie de la culture néo-zélandaise et est souvent traité avec suspicion ou vivement désapprouvé, car beaucoup de gens le considèrent comme un américanisme qui surcompense certains travailleurs tandis que d'autres sont laissés de côté. De plus, certains ont le sentiment que donner un pourboire revient à payer deux fois pour un même service. Ne soyez pas surpris ou offensé si vous recevez des regards amusés ou si votre pourboire est refusé ou remis en question, car les Néo-Zélandais eux-mêmes ne donnent généralement pas de pourboire, et c'est aussi une forme de courtoisie dans la culture néo-zélandaise de d'abord refuser un tel geste avant de l'accepter. Malgré cela, certaines formes de pourboire sont courantes, comme l'arrondi du prix d'un taxi. Il est cependant presque aussi probable que le chauffeur de taxi arrondisse le prix au dollar inférieur le plus proche. Certains cafés gardent un pot sur le comptoir marqué « pourboires pour le personnel », dans lequel les clients peuvent laisser de la petite monnaie, bien que le plus souvent, les locaux n'en laissent pas.

Les restaurants sont généralement tenus d'inclure le coût du service et les taxes dans les prix affichés. Toutefois, les restaurants peuvent imposer un supplément sur les prix affichés pendant les jours fériés, à condition qu'ils l'annoncent clairement, car ils sont tenus de payer à leurs employés des salaires plus élevés ces jours-là.

Il arrive que des pourboires soient donnés dans un restaurant pour un service exceptionnel, notamment dans les grandes villes comme Christchurch, Wellington et Auckland. Mais dans ces villes, il devient assez courant que le personnel du bar reçoive un pourboire d'environ 30 dollars accumulés au cours de la soirée, en particulier le personnel de service. Là encore, il ne s'agit pas d'un pourcentage de la facture, mais simplement d'un geste de bonne volonté de la part des clients. D'autres peuvent penser que les personnes qui font cela sont ostentatoires et affichent leur richesse. Les Néo-Zélandais qui voyagent à l'étranger trouvent souvent cette coutume difficile et déroutante. Il est courant et poli de donner sa petite monnaie du repas à l'organisme de bienfaisance qui a un pot de collecte sur le comptoir, et cela fait office de substitut standard au pourboire.

Cependant, de nombreux Néo-Zélandais voyagent et vivent dans d’autres pays, et reviennent souvent en Nouvelle-Zélande avec l’habitude de donner un pourboire. En général, les personnes qui fournissent un service en Nouvelle-Zélande, comme les serveurs et les coiffeurs, reçoivent un pourboire avec un sourire et un merci plutôt qu’une somme d’argent. Cela est considéré comme raisonnable car leur salaire moyen est nettement plus élevé que celui de leurs homologues américains.

Horaires d'ouverture des magasins

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La Nouvelle-Zélande a une législation très libérale en matière d'horaires d'ouverture des magasins. Les magasins doivent fermer seulement 3,5 jours par an : le Vendredi saint, le dimanche de Pâques, le jour de Noël et avant 13h00 le jour de l'Anzac (25 avril). Les exceptions incluent les laiteries, les supérettes, les stations-service, les cafés et restaurants, les pharmacies, les boutiques de souvenirs et les magasins dans les aéroports et les terminaux de transports publics. Certaines villes et zones sont exemptées d'un ou plusieurs de ces jours de fermeture obligatoire.

Les magasins de la rue principale ouvrent généralement entre 8h00 et 9h00 en semaine et ferment entre 16h30 et 18h00. Lorsqu'ils sont ouverts le week-end et les jours fériés, ils ouvrent généralement entre 9h00 et 10h00 et ferment entre 13h00 et 17h00. Les centres commerciaux sont généralement ouverts de 9h00 à 18h00 du lundi au samedi et de 10h00 à 17h00 le dimanche ; la plupart organisent une ou deux nuits tardives par semaine, généralement le jeudi et/ou le vendredi, où les magasins restent ouverts jusqu'à 21h00. Les supermarchés et la plupart des grandes enseignes ouvrent tous les jours entre 7h00 et 8h00 et ferment entre 21h00 et 22h00.

Les principales chaînes de distribution

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The Warehouse , communément appelé The Red Shed , est l'équivalent néo-zélandais de Walmart. Le groupe Warehouse vend une variété de produits moins chers, notamment des vêtements, du matériel de camping, de l'électronique, des jouets, des CD, des DVD et des jeux. On trouve des magasins classiques dans toutes les villes et la plupart des grandes villes, mais certains magasins plus petits sont également présents dans les villes rurales. Malgré sa réputation de Walmart, les magasins vendent des marques haut de gamme respectées, telles que Sony, LEGO, Apple et Adidas. Les prix sont bon marché et si vous achetez des produits à utiliser pendant la durée de vos vacances en Nouvelle-Zélande (et que vous ne prévoyez pas de les ramener chez vous), The Warehouse est recommandé. The Warehouse a également une politique de retour et d'échange très libérale en cas de changement d'avis - vous pouvez retourner ou échanger un article dans les 12 mois suivant l'achat à condition qu'il soit en état de revente et que vous ayez une preuve d'achat (certains articles tels que les sous-vêtements, les maillots de bain, les supports enregistrés et les denrées périssables sont exclus). Les grands magasins plus traditionnels comprennent les Farmers de milieu de gamme et les grands magasins haut de gamme des grandes villes : Smith & Caughey's à Auckland et Ballantyne's à Christchurch.

Parmi les autres chaînes de grande distribution, on trouve Briscoes , un magasin d'articles pour la maison (qui semble organiser une « vente de 30 à 60 % de réduction sur tout » tous les deux week-ends) ; Noel Leeming , un détaillant d'électronique ; et Mitre 10 Mega, un détaillant de bricolage.

Les habitudes culinaires sont à peu près semblables à celles pratiquées dans tout pays anglo-saxon.

On peut consommer des hamburgers et des "fish and chips" à peu près sur tout le territoire, le "vegemite" et la "marmite" sont également au programme pour celles et ceux qui voudront bien se laisser tenter.

On trouve des pie, sorte de petite tartelette individuelle fermé ou ouverte souvent dans les bakery.

Côté gastronomie locale, ne pas s'attendre à des miracles car les habitants ne cuisinent pas souvent eux-mêmes...

Bonne nouvelle : le prix des consommations n'a en général pas grand-chose à voir avec le standing de l'établissement. Les cafés, cappuccinos et autres boissons chaudes sont copieuses et à un prix raisonnable. Les routards n'hésiteront pas à aller s’asseoir à une terrasse.

La région de Canterbury produit aussi quelques bons vins.

Se loger

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Backpackers

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Les backpackers sont le meilleur moyen de se loger pas cher lorsque l'on visite Aotearoa (l'île du long nuage blanc, autrement dit la Nouvelle-Zélande). Ils sont généralement organisés autour d'une cuisine, un salon et des chambres individuelles ou parfois de petits dortoirs. Si certains ressemblent à des auberges de jeunesse, d'autres ont plutôt le profil de B&B. Le principe est de se débrouiller avec les équipements mis à disposition et les denrées que l'on apporte ou que d'autres ont laissé. C'est souvent l'occasion de rencontrer d'autres voyageurs qui viennent d'un peu partout dans le monde, de s'échanger les bons plans et de passer de sympathiques soirées.

Nombre de backpackers se sont réunis autour du label BBH et publie un guide. Deux fois par an, les visiteurs des BBH sont invités à se prononcer sur la qualité de l'accueil. La satisfaction est alors exprimée en pourcentage et figure dans le guide BBH gratuit disponible dans chaque backpacker agrémenté. La "rating" crée une saine compétition qui pousse chaque propriétaire à proposer un service original et de qualité. Un tel se spécialise dans l'écotourisme, un autre propose des repas communs compris dans le prix de la nuit, etc. Les backpackers se distinguent en particulier dans les zones les plus rurales où l'accueil tient généralement plus de la chambre d'hôtes que de l'auberge de jeunesse.

Camping

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Les campings sont nombreux et parfois bien équipés (cuisine, gaz, BBQ, couverts, ustensiles...). Les prix varient suivant les services proposés (cuisine, douches chaudes, wifi). Attention toutefois dans les villes où ils sont un peu plus chers et généralement situés à proximité des routes. Hors des campings privés, il existe aussi quelques campings gratuits tenus par les municipalités et les campings du Department of Conservation, situés dans les zones protégées. Ces derniers sont en général très sobrement équipés (toilettes et douche froide, pas d'eau potable), mais très bon marché.

Le camping sauvage n'est pas toléré (200 NZD d'amendes par personne). Il est autorisé de rester trois nuits dans un endroit sous certaines conditions : avoir un van/camping car homologué self-contened, et être dans une zone où il n'y a pas d'interdiction. En général les bords de mer, les parcs protégés, les bords des greats walk sont interdits. Vous pouvez vous renseigner auprès des i-site, et demander en cas de doute.

2 applications communautaires référencent les campings payants et gratuits : CamperMate et WikiCamps. (référencent aussi les points wifi, les points d'eaux...)

Enfin, le DoC tient de nombreux refuges dans les zones protégées. Si ceux-ci sont généralement chers le long des neuf Great Walks, les autres sont très bon marché. Il faut acheter des coupons auprès d'un centre d'information du DoC. Chacun coûte quelques dollars et permet de passer une nuit confortable dans un refuge généralement bien tenu.

Les chambres d'hôtes sont très appréciées des Britanniques et des Suisses en visite, tout comme les séjours chez l'habitant , les séjours à la ferme et autres hébergements similaires, dont certains se trouvent dans des endroits les plus inattendus. Ces hébergements peuvent être un bon choix si le voyageur souhaite bénéficier des conseils avisés des hôtes locaux, et de nombreux visiteurs apprécient l'opportunité de goûter à la vie rurale. Pour un hébergement typiquement néo-zélandais, il existe des séjours chez l'habitant maoris et des séjours touristiques dans des marae . [auberge à Auckland] Il existe un large éventail d' hébergements pour les routards autour de ces îles, notamment un réseau de 20 auberges de jeunesse (réservées aux voyageurs indépendants de tout âge) qui sont membres de l' Association des auberges de jeunesse . Il existe également deux réseaux de commercialisation d'auberges indépendantes : BBH avec plus de 280 annonces et le réseau beaucoup plus petit Nomads . L'industrie du routard a été gravement touchée par la fermeture des frontières internationales en 2020-2022 et de nombreuses auberges ont fermé.

Travailler

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  • Pour travailler en Nouvelle-Zélande, il suffit d’obtenir le Working Holiday Visa, ou Permis Vacances Travail, valable 12 mois. Il n’y a pas de limite de places pour les Permis Vacances Travail en Nouvelle-Zélande!
  • Les jobs disponibles en Nouvelle-Zélande dans le cadre du Working Holiday Visa sont pour la plupart des postes temporaires ou saisonniers. Même si la plupart des jobs se trouvent sur place (bouche à oreille, journaux, agences locales) il est bon de commencer les recherches au plus vite, et d’explorer les sites de recrutement pour se faire une idée du marché de l’emploi en général.

Communiquer

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Téléphone

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[téléphoniques à l'ancienne à Dunedin , servant également d'attraction touristique] [téléphonique à Pukekohe] La Nouvelle-Zélande dispose d'un système téléphonique bien développé et omniprésent. Spark, l'ancienne compagnie de téléphonie du pays, affirmait en 2009 disposer d'environ 4 000 téléphones publics en Nouvelle-Zélande, facilement identifiables par leurs couleurs jaune et bleue, mais ces chiffres sont désormais en baisse. Tous acceptent les principales cartes de crédit et une variété de cartes téléphoniques disponibles chez les détaillants. Vous devrez peut-être chercher longtemps pour trouver un téléphone public qui accepte les pièces de monnaie.

L'indicatif téléphonique international de la Nouvelle-Zélande est le 64. Le code d'accès ou préfixe international est le 00 .

Les indicatifs régionaux sont les suivants. Lorsque vous appelez depuis l'étranger, omettez le zéro initial :

03 dans l'île du Sud, l'île Stewart et les Chathams
04 dans le Grand Wellington (à l'exclusion de Wairarapa )
06 à Taranaki , Whanganui , Manawatu , le centre de l'île du Nord au sud du mont Ruapehu, Hawke's Bay , la côte Est et Wairarapa.
07 à Waikato , Bay of Plenty et le centre de l'île du Nord au nord du mont Ruapehu
09 à Auckland et Northland.

Les numéros de téléphone fixe locaux comportent sept chiffres. Vous devrez composer l'indicatif régional si vous effectuez un appel en dehors de votre zone locale, même si l'indicatif régional est le même (par exemple, vous devez composer le 03 lorsque vous appelez Christchurch depuis Dunedin, le 07 lorsque vous appelez Hamilton depuis Tauranga, etc.).

Les numéros de téléphone portable commencent par 02 suivi de sept à neuf chiffres (généralement huit).

Les numéros gratuits commencent par 0508 ou 0800 et ne peuvent pas être connectés depuis l'extérieur de la Nouvelle-Zélande.

Téléphones portables

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Tous les principaux réseaux mobiles néo-zélandais affirment avoir une couverture « là où 97 % des Néo-Zélandais vivent, travaillent et se divertissent », même si cela doit être pris avec des pincettes. La couverture de téléphonie mobile est bonne à proximité des zones urbaines, même si le terrain montagneux signifie qu'en dehors de ces zones urbaines et surtout loin du réseau routier principal, la couverture peut être inégale. Ne comptez pas sur les téléphones portables sur un terrain vallonné ou montagneux. Les utilisateurs de téléphones portables peuvent appeler le *555 uniquement pour signaler à la police des incidents de sécurité routière non urgents , tels qu'une panne, un danger routier ou un accident de voiture sans blessé .

Les trois principaux opérateurs de réseaux mobiles sont Spark , One NZ (anciennement Vodafone NZ) et 2degrees . Il existe également de nombreux opérateurs de réseaux mobiles virtuels (MNVO), le plus important étant Skinny , qui opère sur le réseau de Spark. Tous les réseaux fournissent des services 3G et 4G, ainsi que des services 5G dans les principales villes. Seul One NZ propose encore un service 2G.

Les cartes SIM sont largement disponibles et aucune inscription n'est nécessaire. À moins que vous n'achetiez spécifiquement une carte SIM de voyage (qui ne sont généralement disponibles que dans les boutiques des aéroports), vous devrez télécharger l'application du réseau concerné ou l'appeler pour activer votre carte SIM, recharger le crédit et acheter des forfaits ou des packs. La plupart des aéroports et des centres commerciaux disposent de boutiques de tous les fournisseurs de réseau disponibles pour acheter un accès et obtenir des informations sur leurs réseaux. Les cartes SIM et les bons de recharge sont également disponibles dans les supermarchés et les laiteries.

Internet

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Certains établissements proposent une connexion Wi-Fi gratuite à leurs clients. Souvent, elle est disponible moyennant des frais.

L'accès à Internet est disponible dans les cybercafés, qui sont généralement nombreux dans les grandes villes. Certains cybercafés ne sont peut-être pas correctement entretenus, mais certains endroits maintiennent un niveau de sécurité élevé en ce qui concerne leurs systèmes. Si vous avez votre propre ordinateur portable, de nombreux cybercafés permettent un accès filaire et sans fil. Il devient de plus en plus courant d'autoriser les touristes à utiliser leur propre ordinateur portable pour accéder à Internet.

De nombreuses bibliothèques publiques proposent un accès Internet public. L'accès peut être payant. La bibliothèque publique d'Auckland permet une session de 1 Go par jour sans frais. Certains fournisseurs, comme le réseau des bibliothèques de la ville de Christchurch, offrent un accès gratuit à certains sites, généralement ceux qui présentent un intérêt, comme Google, BBC et CNN, ainsi qu'à ceux du domaine de premier niveau .nz .

Vous pouvez acheter des bons d'accès Wi-Fi dans de nombreux cafés Starbucks et dans de nombreux fast-foods McDonald's qui proposent un accès Wi-Fi gratuit. Il est de plus en plus courant d'en bénéficier dans les hôtels et les motels grâce à des bons, mais il est rarement inclus dans le tarif de votre chambre. Il existe des points d'accès Wi-Fi dans de nombreuses villes et villages de Nouvelle-Zélande auprès de fournisseurs de services sans fil spécialisés auprès desquels vous pouvez acheter du temps de connexion. De nombreux parcs de camping proposent également de tels services. Le Wi-Fi gratuit n'est pas très courant, mais les meilleurs emplacements gratuits se trouvent dans les bibliothèques de nombreuses petites et moyennes villes.

Les aéroports de Wellington, Auckland et Dunedin disposent d'un accès Wi-Fi gratuit, mais l'aéroport de Christchurch facture toujours des frais pour le service sans fil dans les terminaux.

La vitesse de connexion Internet en Nouvelle-Zélande est comparable à celle des autres pays du premier monde, mais ne vous attendez pas à un accès Internet à faible latence et à vitesse de la lumière pour les sites internationaux. N'oubliez pas que le pays est séparé de son voisin le plus proche par 2 200  km d'eau et que les câbles sous-marins sont coûteux à construire et à entretenir. La fibre optique jusqu'aux locaux (Ultra Fast Broadband ou UFB) est disponible pour plus de 85 % de la population, principalement dans les zones urbaines, tandis que l'Internet par câble est disponible dans certaines parties de Wellington et Christchurch. Les zones rurales dépendent principalement de la téléphonie mobile 4G ou de la ligne en cuivre ADSL/VDSL pour le haut débit. Si vous vous rendez dans une zone rurale isolée, attendez-vous à ce que l'Internet soit fourni par satellite ou, pire, par ligne commutée !

[boîte aux lettres typique de la poste néo-zélandaise] Le bureau de poste national est New Zealand Post , avec des PostShops et des PostCentres dans la plupart des villes. Les timbres peuvent être achetés auprès de nombreux détaillants dans toute la Nouvelle-Zélande. La livraison en Nouvelle-Zélande prend généralement trois jours ouvrables pour le service standard et le jour ouvrable suivant pour le service de messagerie. Le courrier aérien standard prend généralement 3 à 6 jours ouvrables pour l'Australie et 6 à 10 jours ouvrables pour le reste du monde.

Depuis juillet 2024, les cartes postales et les lettres jusqu'au format DL (130 mm × 235 mm) coûtent 2,30 $ à envoyer en Nouvelle-Zélande. Les cartes postales coûtent 3,30 $ à envoyer à l'étranger ; les lettres jusqu'au format DL coûtent 3,60 $ à envoyer en Australie et dans le Pacifique Sud, et 4,30 $ à envoyer dans le reste du monde.

Poste Restante est un service peu coûteux de réception de lettres et de colis pendant votre séjour en Nouvelle-Zélande. Il est disponible dans les bureaux de poste de tout le pays. La livraison au comptoir est disponible à l'échelle nationale dans les PostShop locaux et dans certains points de vente PostCentre si vous avez besoin d'une adresse postale à court terme pour une durée maximale de trois mois.

La Nouvelle-Zélande utilise des codes postaux à 4 chiffres. Les adresses rurales utilisent des numéros RD (rural delivery) au lieu des numéros de banlieue. Les adresses postales sont généralement au format suivant :

Nom du destinataire
Adresse postale/Numéro de boîte postale
Hall d'entrée de la banlieue/du numéro RD/de la boîte postale
Code postal de la ville

Sécurité

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Avertissement de voyage Numéro d'appel d'urgence :
Tous services d'urgence : 111

Les précautions d'usage habituelles valent également en Nouvelle-Zélande même si les problèmes sont relativement peu nombreux.

Il est déconseillé de transporter sur soi de grosses sommes d'argent. Il est plus prudent de retirer de l'argent liquide au fur et à mesure des besoins, des distributeurs automatiques sont implantés en nombre suffisant. Les hôtels disposent généralement d'un coffre-fort où vous pouvez en votre absence, confier vos biens de valeurs et documents officiels (faire des photocopies...).

En cas de perte ou de vol, il est impératif de se rendre à la police, celle-ci vous éditera un procès-verbal nécessaire au renouvellement de vos documents ainsi qu'au dédommagement de vos objets pour votre assurance. Les établissements ouverts au public (transports en commun, hôtels, centres commerciaux...) disposent également d'un service d'objets trouvés à qui vous pourrez également vous adresser. Ne rien laisser en vue dans votre véhicule, surtout dans les zones urbaines des grandes métropoles. Si par hasard vous possédez certains objets que vous ne pouvez pas emporter, enfermez-les dans le coffre.

Si vous êtes une femme, évitez tout de même de vous promener seule la nuit surtout en ville, n'empruntez que les artères voyantes et bien éclairés si vous ne pouvez pas y renoncer. Le mieux est tout de même d'appeler un taxi car les transports en commun sont extrêmement rares en soirée, même à Auckland et à Wellington.

Lors des baignades en bord de mer, se méfier des vagues qui se révèlent souvent dangereuses. En cas de doute, renseignez-vous auprès des habitants ou des autorités avant de vous jeter à l'eau.

Malgré sa position géographique, sachez que l'archipel ne compte aucun requin ni crocodile, pas le moindre serpent ne viendra croiser le chemin du paisible randonneur que vous êtes (oui, vraiment...). L'inexistence de ces créatures ravageuses est tout bonnement due à la stricte application des lois douanières concernant l'importation d'animaux et de végétaux sur le territoire.

Conseils gouvernementaux aux voyageurs

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Respecter

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Environnement

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Les habitants de Nouvelle-Zélande sont respectueux de la nature, les parcs gratuits ou payant sont très bien aménagés et permettent à chacun de se trouver en cohésion avec la nature. Ils sont en quelque sorte les dépositaires d'une nature encore préservée par rapport au reste du monde, du moins pour le moment. La densité de population étant un facteur de préservation de l'environnement, environ 4,4 millions d'habitants pour une superficie égale à la moitié de la France. Vous trouverez peu de poubelles publiques en Nouvelle-Zélande, pour autant les espaces sont parfaitement propres. Vous devrez donc emporter avec vous tous vos déchets, en particulier lors de pique-nique ou de camping (self-contened, camping du doc, refuge…). À savoir que des points de collectes récupèrent les poubelles à recycler gratuitement, pour les autres déchets il vous sera demandé une participation forfaitaire (environ 1 NZD/sac).

Piéton

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Le piéton est prioritaire lorsqu'il traverse sur un passage clouté. Les Néo-zélandais s’arrêteront toujours. Dans les autres situations, la voiture est prioritaire et ne s’arrête pas, l'attention est donc de mise.

Contrôle sanitaire

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La Nouvelle-Zélande, étant une île, faite très attention à ne pas importer des champignons et autres bactéries. Lors de votre arrivée en, vous devrez remplir un questionnaire détaillé sur le contenu de votre valise afin de contrôler les objets susceptibles d'importer des bactéries (aliments, bois, etc.) ; par exemple, une tente ou des chaussures de marche ayant servis seront systématiquement contrôlés.

Le phalanger commun (Trichosurus vulpecula), marsupial importé d'Australie et aussi connu sous le nom d'« opossum d'Australie », est devenu objet de haine de la part des Néo-zélandais car qualifié de nuisible. Ils sont environ 40 millions à vivre en liberté dans l'ensemble du territoire. Relativement inoffensif, il est accusé de dévorer la forêt primaire et de détruire nids et œufs du kiwi (Apterygiforme), l'animal fétiche du pays. Il est également accusé de transmettre la tuberculose aux bovins. Pour toutes ces accusations, il est admis et c'est devenu un sport national, d'écraser volontairement ces petites bêtes. Il est fréquent de retrouver un phalanger sans vie sur le bord d'une route, complètement dépiauté (qu'en est il alors de la propagation de la tuberculose ?). En effet, le commerce de la fourrure de cet animal représente des centaines de millions de dollars. D'après le WWF, qui n'approuve pas ce commerce, il est possible que certaines entreprises aient un intérêt à assurer la survie de cette espèce.

Voyager avec des enfants

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Vous trouvez sensiblement la même chose qu'en France pour un bébé dans tous les supermarchés : couche, lait en poudre, lingette. Il y a de nombreux espaces publics aménagés : structures de jeux, plages, parcs en ville...

De nombreuses familles choisissent de louer un van/camping car et sillonnant les routes avec enfant(s). Les campings sont accueillants, et souvent gratuit en dessous de 5 ans.

Pas de danger ou restrictions particulières hormis quelques moustiques suivant la saison. Il y a des médecins et des pharmacies dans toutes les grandes villes. Les supermarchés vendent les médicaments de base sans ordonnance. Toute la famille devra se protéger du soleil sérieusement, celui-ci est réputé extrêmement fort en NZ et peut brûler très rapidement.


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