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== Comprendre ==
Le Botswana est État partie de la Convention sur le patrimoine culturel immatériel qu'il a signé le {{Date|1|4|2010
Le pays ne compte aucune pratique reprise ni sur la « [[Patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO#Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité|liste représentative du patrimoine culturel immatériel]] » ni dans le « [[Patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO#Registre des meilleures pratiques de sauvegarde|registre des meilleures pratiques de sauvegarde de la culture]] » de l'UNESCO.
== Liste ==
{{Tableau PCI|
{{Site PCI | pratique={{Marqueur |nom=Le savoir-faire de la poterie en terre cuite dans le district de Kgatleng au Botswana|lien nom=
| illustration=Earthenware pot- Botswana.JPG }}
{{Site PCI | pratique={{Marqueur |nom=Le dikopelo, musique traditionnelle des Bakgatla ba Kgafela dans le district de Kgatleng |lien nom= |latitude= |longitude= |image= }} |année=2017 | domaine=* arts du spectacle<br>* connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers<br>* pratiques sociales, rituels et événements festifs<br>* savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel<br>* traditions et expressions orales | id=01290 | description=La pratique du dikopelo associe du chant vocal et de la danse suivant une chorégraphie spécifique, sans instruments de musique, et réunit les habitants d’une zone donnée qui chantent en chœur. L’élément est pratiqué par les hommes, les femmes et les enfants mais il est surtout maîtrisé par les anciens qui, en tant que membres d’un Conseil consultatif informel, transmettent leur savoir-faire à la jeune génération. Le dikopelo est une pratique collective fondée sur une vision partagée de la vie de la communauté. L’élément n’est plus aussi répandu que par le passé. Bien que le dikopelo soit à l’origine un événement pratiqué par les communautés sur les terres agricoles, le déclin de la population agricole a entraîné le déplacement des chœurs vers des villages où il est plus difficile de le pratiquer en raison de la modernisation. Les pratiques de divertissement modernes ont également réduit le nombre de praticiens expérimentés en mesure d’expliquer la signification de l’élément. Pourtant, malgré la faible viabilité du dikopelo, la communauté et les praticiens s’engagent pour sa sauvegarde, comme en témoignent leur détermination à se mesurer à des groupes issus d’autres districts et les efforts déployés pour faire revivre le dikopelo dans l’optique de préserver les jeunes des problèmes sociaux et de promouvoir des messages positifs dans la communauté. | illustration= }}
{{Site PCI | pratique={{Marqueur |nom=Le seperu, danse populaire et pratiques associées |lien nom= |latitude= |longitude= |image= }} |année=2019 | domaine=* arts du spectacle<br>* connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers<br>* pratiques sociales, rituels et événements festifs<br>* savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel<br>* traditions et expressions orales | id=01502 | description=La danse populaire seperu et les pratiques associées englobent le chant, la danse et les rituels sacrés qui sont très importants dans la vie des membres de la communauté veekuhane. Le seperu est une pratique de célébration exécutée à l’occasion de cérémonies qui marquent des étapes importantes dans la vie des membres de la communauté. Les danseuses forment un arc de cercle, tandis que les danseurs se placent face à elles, à l’extrémité de l’arc. Le danseur principal utilise un chasse-mouche pour diriger et choisir une danseuse, tandis que les autres membres du groupe imitent le chant d’une colombe mâle. La partenaire choisie met ensuite en avant ses talents de danseuse en reproduisant la forme d’une queue de paon avec sa robe à plusieurs couches (mushishi). Bien que la danse populaire seperu soit un symbole clé d’identité et de fierté pour la communauté veekuhane, le nombre de détenteurs des connaissances et de praticiens actifs a diminué, affectant sa visibilité et sa transmission aux générations plus jeunes. À l’heure actuelle, l’on ne dénombre que 194 praticiens actifs et 12 maîtres praticiens, tous âgés de plus de 70 ans. Les méthodes traditionnelles de transmission sont ébranlées par le détournement de la signification du mushishi, les cérémonies de mariage modernes, les programmes scolaires actuels et la modernisation qui a conduit les membres de la communauté à s’installer dans d’autres régions du pays. | illustration=190625-A-NV384-0104 (48144094752).jpg }}
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{{DEFAULTSORT:Botswana, Patrimoine culturel immatériel au}}
{{Avancement|statut=
{{Thème|Patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO}}
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