« Kilimandjaro » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m Passage en majuscule de la première lettre d'un modèle
m Robot : Remplacement de texte automatisé (-(\d+)\s?heures? +{{Heure|\1}})
Ligne 34 :
Avant le XIXe siècle, quelques rares chroniqueurs comme le géographe égyptien Ptolémée ont mentionné l'existence d'une «montagne blanche» au cœur de l'Afrique. En 1845, le géographe britannique William Cooley, sûr de sa science, assure que la montagne la plus connue d'Afrique de l'Est, appelée le Kirimanjara, est recouverte de roches rouges.
En mai 1848, un missionnaire, Joseph Rebmann, s'enfonce dans le pays chagga et finit par approcher la montagne : «Vers {{Heure|10 heures}}, je vis quelque chose de remarquablement blanc au sommet d'une haute montagne et crus d'abord qu'il s'agissait de nuages, mais mon guide me dit que c'était du froid, alors je reconnus avec délice cette vieille compagne des Européens qu'on appelle la neige». Sa découverte, rapportée en avril 1849 dans le Church Missionary Intelligencer, est contestée à Londres.<br />
Il faut attendre 1861 pour qu'une expédition, menée par le baron allemand Klaus von der Decken et le botaniste anglais Richard Thornton, permette de constater qu'il s'agit bien d'une cime neigeuse.<br />
En 1883 l'Anglais Joseph Thomson puis le comte Teleki s'attaquent au sommet, mais ne dépassent pas 5300 m.